ouverture du stade !

COMMENTAIRES MARTIN ROY

L'OM retrouve le sourire
Trois jours après sa piteuse élimination en Ligue Europa, l'Olympique de Marseille est sorti vainqueur de sa confrontation avec Lyon, ce dimanche en clôture de la 29e levée de Ligue 1. Une victoire qui s'est dessinée en fin de rencontre grâce à un but salvateur de Taye Taïwo. Du coup, les Phocéens prennent leurs distances avec l'OL et recollent aux co-leaders, Bordeaux et Montpellier.


Taye Taïwo peut avoir le sourire, son but vaut son pesant d'or. (Reuters)

"Évidemment qu'il y a un adversaire de haut niveau qui nous attend dimanche. Ce qu'ils ont fait contre Madrid les deux fois, c'est très solide... mais on est chez nous. Je ne les crains pas". Didier Deschamps a eu raison d'y croire.
En dominant l'Olympique Lyonnais sur la plus petite des marges ce dimanche (2-1), Marseille a relégué son adversaire du soir, sérieux prétendant au sacre final, à deux longueurs, revenant par la même occasion à trois points du leader bordelais.
Si l'"Olympico" ne s'est pas avéré aussi abracadabrantesque que lors du match aller, les deux équipes s'étant neutralisées à 5-5, il aura tout de même tenu en haleine le public du stade Vélodrome jusque dans les derniers instants de la rencontre.

Et pourtant, ce sont les Lyonnais qui se montrent les plus entreprenants en ce début de match. Bien décidés à ne pas laisser les Marseillais développer leur jeu, les protégés de Claude Puel confisquent immédiatement le cuir, empêchant ainsi les Phocéens de prendre l'ascendant dans ce match. Et dès la 4e minute de jeu, Pjanic met Mandanda à contribution en armant plein axe au coeur de la surface de réparation.
Une première situation de but qui conforte les bonnes dispositions entrevues au sein du collectif lyonnais. Et quelques instants plus tard, les visiteurs confirment leur domination territoriale lorsque Delgado, d'une superbe demi-volée, propulse le ballon sur la barre transversale de Steve Mandanada, tout heureux de voir le cuir rebondir juste devant sa ligne (12e).

Relativement attentistes, les Marseillais laissent leurs adversaires du soir faire le jeu si bien qu'à la 20e minute de jeu, Govou et consorts ont déjà frappé sept fois au but. Les coéquipiers de Ben Arfa ont bien tenté de réagir sur coup franc à la 14e mais le missile de Taïwo s'est dérobé de peu du cadre d'Hugo Lloris. Pourtant, cette occasion a eu le mérite de débrider le collectif marseillais qui, peu à peu, laisse entrevoir de la percussion et du jeu en mouvement. Et sur une action venue de la gauche, Niang est d'ailleurs tout près d'hériter du cuir dans les six mètres adverses mais le talon de Toulalan écarte le danger, pour le plus grand plaisir de Lloris (27e).
La fin de la première période est relativement hachée et laisse place à un engagement féroce dans les duels entre 22 acteurs plus que jamais désireux de ne pas laisser le match leur échapper.

Taïwo, l'arme fatale

"C'est important pour Marseille d'aller gagner ce match".

Interrogé devant les caméras de Canal + à l'issue du premier acte, Mamadou Niang connait l'importance d'une victoire face à un concurrent direct pour le titre. Et pourtant, le scénario du premier acte se répète et ce sont les Lyonnais qui, dès le retour des vestiaires, se montrent les plus dangereux, Pjanic touchant immédiatement du bois sur une frappe lointaine qui avait laissé pantois Mandanda (46e). Comme en début de première période, Marseille fait preuve d'une passivité inquiétante dont profite les Lyonnais pour tenter d'alimenter le tableau d'affichage en leur faveur.

Mais cette occasion a le mérite de révolter les protégés de Didier Deschamps, qui repartent immédiatement au combat avec Kaboré du pied gauche (50e) et Taïwo de la tête (53e), tout proches de surprendre Lloris. Et comme un symbole, la lumière viendra de ces deux hommes.
Le premier pense avoir fait le plus dur en ouvrant le score à la 67e, d'une frappe des vingt-cinq mètres légèrement déviée par Cris, surprenant Lloris. C'est sans compter sur le sursaut d'orgueil des Lyonnais qui, par l'intermédiaire de Gomis, remettent les compteurs à égalité (1-1, 79e). Une joie de courte durée pour les Gones puisque, d'une frappe limpide des vingt mètres, le Nigérian Taïwo vient crucifier l'OL à dix minutes du coup de sifflet final (2-1, 81e).
Le score n'évoluera plus, le club phocéen retrouve des couleurs après son éviction de la Ligue Europa et reste en embuscade dans la course au sacre à trois longueurs des co-leaders, Bordeaux et Montpellier.
Pour l'OL en revanche, les espoirs de titre s'amenuisent de jour en jour...


Deschamps: "La victoire était devenue obligatoire" Didier Deschamps était très fier de ses joueurs en conférence de presse. (Reuters)
A l'issue de la belle victoire

21/03/2010:

Montpellier, éternel dauphin

Grâce à sa victoire obtenue face à Valenciennes (2-1),

Les Valenciennois
PENNETEAU : Catastrophique dans sa cage par moments, il se troue sur le premier but. Sur le deuxième, il aurait dû sortir. Et ce ne sont pas ses seules erreurs du match.
MATER : Avec l'aide de Ducourtioux le plus souvent, il s'est attaché à barrer la route aux attaquant montpelliérains.
ABARDONADO : A l'image de la défense valenciennoise, il a explosé sur les deux buts montpelliérains.
ANGOUA : Peu de travail non plus mais beaucoup trop de passivité lorsqu'il fallait intervenir.
BONG : Tout près de marquer contre son camp en première mi-temps, il a bien tenu Camara.
SANCHEZ : Solide en milieu de terrain, il ne s'est pas laissé abattre par l'ouverture du score rapide de Montpellier.
COHADE : Beaucoup utilisé par ses coéquipiers, il a donné de longs ballons.
KADIR : En dehors de quelques beaux enchaînements de loin, il n'a pas vraiment pesé. Remplacé par PUJOL (75eme)
DUCOURTIOUX : Surtout contraint de beaucoup défendre, il a gâché quelques bons coups offensifs.
DANIC : Très rapide sur les côtés, il a joué par intermittence. Un caviar en première mi-temps mal exploité par Ducourtioux et un centre décisif sur la réduction du score.
AUDEL : Poison permanent pour Spahic et El Kaoutari, il n'a pas trouvé l'ouverture malgré de belles occasions.
Remplacé par BEN KHALFALLAH (71eme) qui réduit le score sur l'un de ses premiers ballons.

VALENCIENNES

Zoom Coupe de la Ligue : Marseille, 17 ans après !


L'OM a dominé Bordeaux en finale de la Coupe de la Ligue, samedi soir au Stade de France (3-1). 17 ans après leur titre de champion d'Europe,
les Marseillais rajoutent enfin une ligne à leur palmarès.

Guillaume Georges | 27.03.2010, 20h39 | Mise à jour : 28.03.2010, 04h01


Ce n'est franchement pas à un secret pour la France du foot.

Du côté du Vieux-Port, on commençait à trouver le temps long. Très long même. Depuis 1993 et son sacre de champion d'Europe, l'OM courait après un titre. Battu deux fois de suite en finale de la Coupe de France en 2006 et 2007, Marseille a donc enfin brisé la malédiction samedi soir en gagnant la Coupe de la Ligue au terme d'une partie d'abord équilibrée, que les hommes de Deschamps ont finalement pliée au coeur de la deuxième période.


La première, elle, ne laissait pas présager un tel dénouement. Dans un premier quart d'heure dominé par Marseille, Bordeaux sort d'abord la machine à tacles. Et M. Lannoy, l'arbitre de la rencontre, les cartons jaunes. Sané ouvre le bal pour une intervention très appuyée et très en retard sur Lucho (11e). S'ensuit une échauffourée entre les deux équipes.
Alou Diarra poursuit dans la même voie en mettant un tampon au même Lucho et hérite lui aussi d'un carton (15e). A ce jeu là, Brandao réduit le score pour une faute sur Chalmé (18e).

Passé ce premier quart d'heure un brin physique donc, Bordeaux se remet progressivement à jouer. Le centre en retrait de Gourcuff ne trouve personne sinon un défenseur marseillais (19e). Le meneur girondin récidive mais sa frappe est captée par Mandanda (22e). Côté marseillais, Ben Arfa réplique mais la frappe du Marseillais est sortie en corner par Ramé (27e).
En cette fin de première période, les deux équipes se répondent : Brandao frôle le poteau (33e), quelques secondes seulement après une grosse opportunité bordelaise. Gourcuff, lancé par Plasil, oublie le ballon à l'entrée de la surface (32e).

Marseille : trois buts en un quart d'heure

Est-ce la fatigue, la proximité d'un quart de finale de la Ligue des Champions, mardi prochain à Lyon, ou tout simplement la supériorité de leur adversaire du soir ? Toujours est-il qu'en deuxième mi-temps, les Girondins ne font pas illusion longtemps. Bordeaux craque d'abord sur un coup de pied arrêté.
Le corner de Lucho trouve la tête de Diawara qui prend le meilleur sur Diarra et ajuste Ramé (61e).
Le virage blanc et bleu ciel explose. Celui d'en face, bleu marine, fait grise mine. Et ça ne s'arrange pas. Cinq minutes plus tard, les Bordelais laissent bizarrement Ben Arfa fixer deux défenseurs girondins et servir Valbuena. La frappe du Marseillais, entré en cours de jeu et formé à Bordeaux, trompe Ramé (67e).
Bordeaux n'y est plus et cède une nouvelle fois sur un coup franc de Valbuena dévié par Chalmé dans son propre but (77e). Pour l'honneur, selon l'expression consacrée, Sané réduit le score en fin de match pour les Girondins (85e).

Bordeaux, tenant du titre de cette Coupe de la Ligue, lâche ainsi sa couronne à Marseille. Désormais, les Girondins doivent également prendre garde à ne pas perdre leur autre trophée.
Celui de champion de France.

Publié: Samedi, 27 mars 2010, 22.30HEC

Lyon tient bon à Gerland

Vainqueur 2-0 de la lanterne rouge grenobloise,

Lyon reste invaincu en 2010 dans son stade avant les quarts de finale de la Champions League, avec la venue de Bordeaux.

En savoir plusVainqueur 2-0 du Grenoble Foot 38, l'Olympique Lyonnais reste invaincu en 2010 dans son stade de Gerland, avant les quarts de finale de l'UEFA Champions League, avec la venue du FC Bordeaux de Bordeaux, mardi.

Les buts ont été marqués, face à la lanterne rouge, en début et fin de deuxième période, par Michel Bastos et César Delgado. Le défenseur slovène Bostjan César a été expulsé à la 76e minute pour Grenoble.

Lyon remonte à la 4e place, alors que tous les matches se déroulent demain, sauf ceux de Bordeaux et de l'Olympique de Marseille, qui jouaient samedi soir la finale de la Coupe de la Ligue, remportée 3-1 par l'OM.
Bordeaux

Comme d'habitude

Comme un refrain désormais connu du côté de Grenoble, les Isérois ont, une nouvelle fois, tout perdu dans les dernières minutes ce soir. Lorient s'impose (2-1) après un match très plaisant.

Tout avait pourtant bien commencé pour le GF 38.
Dès la troisième minute, un centre de Matsui trouve Akrour, seul au milieu de la surface lorientaise. D'une superbe tête décroisée, le milieu offensif grenoblois ouvre la marque (1-0; 3e). Les Merlus prennent progressivement le contôle du match, tandis que les locaux procèdent en contre. Sur une action à une touche de balle, Amalfitano lance parfaitement Gameiro dans la profondeur : l'attaquant merlu lobe Maubleu venu à sa rencontre et égalise (1-1, 32e). La fin de la première période est toute à l'avantage des visteurs qui ne réussissent cependant pas à aggraver le score.

Les Grenoblois se relancent en seconde mi-temps. Disposant plus souvent du ballon, ils se procurent deux occasions très nettes par l'inévitable Akrour : ses deux coups de tête consécutifs trouvent le poteau (70e) puis un Audard très inspiré (81e). Sur l'une des nombreuses contre-attaques lorientaises, Franchone choisit de tirer en force. Maubleu, très bon jusque-là, fait une faute de main et échappe le ballon qui rentre (1-2, 87e).

Le calvaire de Grenoble en Ligue 1 continue,

tandis que Lorient continue de regarder vers le haut du classement.



VA au coeur

Valenciennes a fait chuter Lille (1-0), samedi soir, à l'occasion de la 31e journée de Ligue 1, grâce à une réalisation signée Samassa (82e).

Pourtant, le Losc démarre la rencontre tambour battant, trouvant même la barre transversale par l'intermédiaire de Chedjou, sur un coup franc tiré par Cabaye (23e). Dans le dur pendant cette première demi-heure, Valenciennes se réveille et commence à créer le danger dans le camp lillois. Même si Cabaye (44e) puis Frau (45e) butent par la suite sur Penneteau.

Au retour des vestiaires, VA poursuit sa domination, emmené par un duo Mater-Ducourtioux en grande forme. Si Obraniak rate l'immanquable à un quart d'heure de la fin (76e), les Rouge et Blanc vont sanctionner le manque d'efficacité d'un Losc redevenu dangereux. Sur un centre au cordeau de Ducourtioux (servi par Mater), Samassa coupe la trajectoire du tir et, même s'il rate sa reprise, trompe Landreau (82e).

Le sursaut d'orgueil des Dogues est vain, et Lille rate l'occasion de grappiller quelques places, Bordeaux ayant perdu dans le même temps.

VA reste 10e.

VALENCIENNES 1 / MONACO 2

Monaco gagne à nouveau
La série noire prend fin pour Monaco qui l'emporte à domicile ce samedi face à Valenciennes (2-1) pour le compte de la 32e journée de Ligue 1.

Les joueurs du Rocher entament bien le match, trouvant le poteau de la cage valenciennoise sur un tir puissant de Haruna (4e) et marquant un but de Muratori logiquement refusé pour une faute de Park sur Penneteau (9e). VA plie mais ne rompt pas, bien au contraire, puisque sur un coup de pied arrêté de Danic, c'est Bisevac qui ouvre la marque en faveur des visiteurs, légèrement contre le cours du jeu (0-1, 37e). A la pause, l'ASM est menée.

Mais au retour des vestiaires, les locaux montrent qu'ils n'ont pas abdiqué et c'est à l'heure de jeu qu'ils égalisent sur un coup franc de l'inévitable Nenê (1-1, 61e).
Valenciennes ne réagit pas et encaisse même un second but quelques minutes plus tard, oeuvre de Maazou (2-1, 78e).
Au coup de sifflet final, l'ASM peut lever les bras : le mauvais sort est éloigné !

Monaco conserve sa 9e place au classement tandis que Valenciennes est toujours 10e.

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GRENOBLE 0 / TOULOUSE 4
Toulouse se relance

En manque de réussite depuis un mois et demi, les hommes d'Alain Casanova ont largement écrasé Grenoble (4-0), samedi soir, lors de la 32e journée de Ligue 1.

Les Toulousains auraient même pu enfoncer un peu plus le clou, si Moussa Sissoko n'avait pas manqué trois occasions franches, notamment celle qui a touché la transversale de Viviani en première mi-temps (22e). Son coéquipier Machado, qui a animé le trio offensif du TFC aux côtés d'Etienne Didot, a inscrit le premier but de la rencontre (9e).

Bien emmenés par leur buteur fétiche André-Pierre Gignac, auteur du dernier but du match (84e), les Violets ont retrouvé des couleurs et de la confiance pour la fin du championnat. "Aujourd'hui, on a vu que si on les mettait au fond, ça marchait, a expliqué Franck Tabanou, qui a marqué un doublé (65e, 74e). C'était important que Gignac marque. Il a beaucoup été critiqué."

Sans ressources physiques, ni mentales, les Grenoblois se sont vite laissés dépasser par la machine toulousaine.

Leur défaite combinée à la victoire des Verts à Sochaux (2-0), envoie les joueurs du GF 38 officiellement en Ligue 2.

Football Grenoble - L1 >
Grenoble a joué le jeu
Hier à 23h00


Officiellement en Ligue 2, les Isérois n’ont plus rien à espérer de cette fin de saison.
Loin de baisser les bras, les joueurs de Mecha Bazdarevic se sont bien battus ce samedi soir, mais s’inclinent 2-1 face à l’OGC Nice.

Sans pression, le football est parfois plus facile. Durant toute la première période, les joueurs du GF38, ont dominé l’OGC Nice et ont bien failli l’emporter. Au final, Akrour ouvrira le score inutilement, mais les joueurs auront fait preuve d’un excellent état d’esprit, pour la plus grande joie de Mecha Bazdarevic.

« Nous avons eu pas mal d'occasions, dans le jeu c'était pas mal du tout, notamment avec une très bonne entame de match. Après, on a lâché petit à petit en deuxième période. C'est du à notre situation au classement, lorsque l'on prend encore un coup sur la tête, on a du mal à réagir. Mais les joueurs se sont battus.

Ce qui est dommage, c'est de prendre un but que je qualifierai d'évitable ainsi que de ne pas être plus efficace devant le but », a déclaré le coach grenoblois, qui devrait connaître ses dernières heures à la tête du GF38.

VALENCIENNES a bien mérité son point

Lens-VAFC 1-1

Pour ce dernier derby de la saison à Lens, le VAFC s'est retrouvé mené après un but de... Roudet alors qu'il dominait nettement la rencontre.
Mais, les Rouge et Blanc ont fait preuve de caractère en égalisant en fin de match par Grégory Pujol.
Un bon point pour un beau derby !

25 avril 2010

Grenoble - PSG : le retour de Coupet

26.04.2010, 17h57 |
Mise à jour : 27.04.2010, 01h03

Antoine Kombouaré pourrait titulariser Grégory Coupet, mardi face à Grenoble, en match avancé de la 35e journée de L1.
Depuis sa grave blessure le 28 novembre, l'ex-Lyonnais n’a pas joué un seule rencontre, si ce n’est avec la réserve du PSG il y a quinze jours. «Normalement, ça devrait aller, il est parti pour jouer», a assuré Antoine Kombouaré.


A quatre jours de la finale de la Coupe de France contre Monaco, la rencontre qui peut sauver la saison des Parisiens, il s'agirait d'éviter qu'Edel ne se blesse. A moins que le coach veuille mettre les deux hommes en concurrence ?

Claude Makelele, qui revient de suspension, a «de grandes chances d'être avec nous» à Grenoble, a également ajouté Kombouaré. L'entraîneur parisien déplore par ailleurs des «inquiétudes» pour l'état de forme des défenseurs Mamadou Sakho (ischio-jambiers) et «Papus» (Zoumana) Camara («problème à un genou»).

Le technicien de la capitale a aussi expliqué que l'attaquant Peguy Luyindula avait un «souci avec un genou» tandis le défenseur Sammy Traoré a été «malade» dimanche. Kombouaré attendait de faire un «point avec le médical» pour en savoir un peu plus en vue du match à Grenobl




LE PARISIEN

01.05.2010, 23h56

Prince Albert de Monaco (sur France 2) :

«On a eu des baisses de régime, on a eu aussi des occasions mais on n'a pas su les concrétiser. Le PSG aussi. C'était un match assez équilibré. Ils ont mis leur but quand il fallait, bravo Paris, je les félicite. On peut se permettre d'avoir beaucoup d'espoir pour l'avenir. On a eu une occasion historique d'être au plus haut niveau en France et en Europe, comme en 2003-2004 en Champions League.

Je crois qu'on a hâte d'être compétitifs pour jouer les premiers rôles en France et aussi en Europe. J'espère dès la saison prochaine.»

Guy Lacombe, l'entraineur de Monaco :

«L'environnement était un peu difficile pour ma jeune équipe, ça a fait sûrement la petite différence sur le terrain. Paris a fait une meilleure première mi-temps que nous, ils étaient crispés mais moins que nous. En deuxième mi-temps, on est mieux rentrés, on était là. Ca se joue à peu de chose, eux aussi ont eu des opportunités. On joue devant 70.000 spectateurs parisiens, Monaco joue à l'extérieur, ça joue. De surcroît, beaucoup de mes joueurs jouaient une finale pour la première fois. Ce sera une expérience riche pour l'avenir. Je vais le regarder de nouveau le match. Il y a des choses qui ne m'ont pas beaucoup plu, mais ça fait partie de l'environnement et du stress d'une finale que mes joueurs doivent gérer.»

Antoine Kombouaré, entraîneur du PSG :

« Je suis heureux et fier de la prestation de mes joueurs. Ils ont fait un grand match pour aller chercher la victoire. C’est bien pour le club qui a beaucoup souffert cette saison. C’est aussi un beau cadeau pour les supporteurs. Les joueurs étaient soumis à une pression énorme qui les a galvanisés ce soir (NDLR : hier soir). C’est la récompense de tout un travail et d’un match plein. »

Ludovic Giuly, milieu du PSG :

« On n’a pas connu une année facile mais ce groupe est bon. On va continuer à travailler et il y aura de meilleures saisons. Cette victoire fait du bien à tout le PSG. »

Mevlut Erding, attaquant du PSG :

« On est contents quand on pense à la saison qu’on a passée car on arrive à se qualifier pour la Ligue Europa. On a sauvé notre saison. La situation avec nos supporteurs était difficile. Mais l’essentiel, en football, c’est de gagner des trophées et c’est ce qu’on a fait. »

Robin Leproux, président du PSG :

« Elle est magnifique, je suis très heureux. C’est la joie que je retiens ce soir. La joie d’avoir vu un splendide match, un superbe public qui a communier avec ses joueurs et un bel état d’esprit de l’équipe. »

Sébastien Bazin, actionnaire du PSG :

« Cette Coupe, on la mérite, on est fiers ! Ça fait partie des moments de joie et ils sont peu nombreux pour moi depuis quatre ans. Cette équipe a une bonne colonne vertébrale qu’on souhaite conserver la saison prochaine. »

Bertrand Delanoë, maire de Paris :

« Je me suis régalé. On a parfois connu des moments moins agréables cette saison donc on voit tout en rose ce soir (hier) . On est avec les joueurs dans les moments difficiles, et là, il faut qu’ils s’éclatent car ils le méritent. Cette année, ils ont gagné la Coupe de France, l’année prochaine, je veux un meilleur championnat. »


LE PARISIEN ,

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Flash actualité - Sports

Zoom Escalettes a laissé entendre qu'il attendait la décision de Laurent Blanc | 03.05.2010, 19h08

Jean-Pierre Escalettes, le président de la Fédération (FFF), a laissé entendre qu'il attendait la décision de Laurent Blanc pour succéder à Raymond Domenech à la tête de l'équipe de France, disant que "personne ne pouvait choisir à la place" de l'entraîneur de Bordeaux.
"Laurent Blanc est sous contrat jusqu'en 2011 (avec Bordeaux), a dit M. Escalettes au quotidien Sud-Ouest. Il reste quatre rencontres de Ligue 1, il faut le laisser travailler en paix. Après, il décidera. Personne ne peut choisir à sa place".

Le président de la Fédération s'est exprimé avant la victoire de Bordeaux sur Toulouse (1-0) dimanche lors de la 35e journée de Ligue 1. Il avait lui-même cité le nom de l'ancien libero international avec ceux de Didier Deschamps (entraîneur de Marseille), Alain Boghossian (un des adjoints de Domenech) et Jean Tigana pour devenir sélectionneur des Bleus après le Mondial-2010.

Fin avril, Michel Platini, le président de l'UEFA et ex-sélectionneur tricolore, a reconnu que "Laurent Blanc, ce serait un très bon choix" pour prendre les rênes de l'équipe de France.

Lundi, lors d'une conférence de presse, à la question "Didier Deschamps partage le même avis que Michel Platini concernant votre avenir, vous lui en voulez ?",

Laurent Blanc s'est contenté d'un "Nice !", en référence à la prochaine équipe que les Girondins affronteront mercredi au stade du Ray.
L'ancien international, qui s'est refusé à révéler sa décision avant le 15 mai, date de fin du championnat de L1, a récemment admis que le classement de Bordeaux (à l'issue de l'actuelle saison, ndlr) pouvait "avoir une incidence" sur celle-ci.