ouverture du stade !

le foot the crow , pour faire plaisir à des visiteurs venus d'ailleurs et, pourquoi pas si des nouveaux membres étaient fans !!

Valenciennes / Lille

Grenoble / Lorient

ce soir 19 H

VALENCIENNES 0 / LILLE 4

Les Temps Forts

90 +3 /
Le coup franc ne donne rien, et M. Jaffredo met un terme à ce derby nordiste à sens unique. 4-0 pour le Losc, le score est net et la victoire est sans bavure. La meilleure équipe à l'extérieur de Ligue 1 a explosé en vol. 90 +3 /
Faute de main de Chedjou, dans les 25 derniers mètres lillois. Bon coup franc à suivre pour VA...
*********************************
90 +2 /
Contre-attaque amorcée par VA. Pujol est à la réception d'un centre venu de l'aile gauche et arme une reprise de volée acrobatique. C'est manqué.
90 /
Trois minutes de temps additionnel sont annoncées par le remplaçant du quatrième arbitre.
89 /
Troisième et dernier changement pour le Losc. Gervinho sort sous l'ovation du public, remplacé par Vittek.

80 /
Grossière obstruction de Mater sur Balmont. L'arbitre ne sort pas de carton.
79 /
Sanchez tente sa chance de loin, à 30 mètres, à ras de terre. Landreau capte facilement.
78 /
Debuchy percute sur l'aile droite et tente d'ajuster son centre vers Gervinho. C'est intercepté par un pied valenciennois.
76 /
Rami reste au sol après avoir reçu le ballon en plein visage.
75 /
Le jeu finit par reprendre. Le coup franc lillois ne donne rien.

61 /
BUT de Gervinho pour Lille! Contre-attaque amorcée par les Dogues. Obraniak s'infiltre dans la moitié de terrain valenciennoise et lance Gervinho. L'Ivoirien ne se fait pas prier pour aller au duel et tromper Ndy Assembé. 3-0 pour Lille !

52 /
BUT de Gervinho pour Lille! Quel but de l'Ivoirien, qui profite d'un bon appel de Balmont pour s'offrir un slalom au sein de la défense valenciennoise. Un, deux, trois Rouge et Blanc sont éliminés et Gervinho ajuste Ndy Assembé de près. C'est superbe !
51 /
Frau est lancé dans la zone de vérité et frappe à bout-portant. C'est trop croisé et ça file en sortie de but.
45 /
C'est reparti au Stadium. Les visiteurs donnent l'engagement.
45 +4 /
Et c'est la pause au Stadium ! Lille mène 1-0 mais aurait largement pu regagner les vestiaires avec un avantage plus conséquent.
45 +3 /
Coup franc pour Lille. Obraniak trouve le pied de Gomis et le ballon roule à deux mètres du but de Ndy Assembé. Gervinho arrive lancé mais bute une nouvelle fois sur le portier rouge et blanc. Encore une incroyable occasion de loupée pour l'Ivoirien.
42 /
BUT de Frau pour Lille! Sur le corner, Cabaye trouve Frau qui saute plus haut que tout le monde au niveau du point de penalty et smashe une tête qui laisse Ndy Assembé impuissant.
19 /
Incroyable occasion de Gervinho ! L'Ivoirien est lancé dans la surface de réparation et parvient à dribbler Ndy Assembé. Il est seul à 2 mètres du but vide mais Bong se jette et gêne le Dogue dans sa frappe. Ndy Assembé parvient finalement à se saisir du cuir.
0 /
C'est parti au Stadium. Les Lillois donnent l'engagement.

GRENOBLE 2 / LORIENT 2


Les Temps Forts

90 +4 /
Lorient et Grenoble terminent la rencontre sur ce score de parité, au terme d'un duel riche en rebondissements. Menant à la pause, Lorient a bien failli perdre son match avec les Isérois avant l'égalisation en toute fin de match de Gameiro. Finalement, les Merlus ne s'installeront pas sur le trône de la Ligue 1, alors que Grenoble n'empochera pas sa première victoire cette saison. Ou quand le partage des points fait deux déçus.
90 +2 /
BUT de Gameiro pour Lorient! Quel coup dur pour Grenoble ! Sur un long centre venu de la droite d'Amalfitano, c'est au tour de Le Crom de se trouer complètement. Suite à un cafouillage dans la surface, Gameiro surgit de nulle part et pousse le cuir dans les buts vides. Bazdarevic est dépité sur son banc.
71 /
BUT de Juan pour Grenoble! Quel renversement de situation pour les Isérois. Sur un nouveau coup franc de Batlles, Cappone s'empare du cuir dans les airs mais le relâche de façon incompréhensible. Juan, à l'affût, est tout heureux de voir le cuir lui arriver et n'a plus qu'à le pousser au fond des filets vides. Quelle erreur du portier des Merlus !
63 /
BUT de Matsui pour Grenoble! Suite à une touche rapidement jouée par Grenoble, Sauget centre au second poteau pour Matsui, totalement oubliée par la défense lorientaise. Le Japonnais se fend d'un très bon contrôle de la poitrine avant d'enchainer avec un extérieur du pied droit touché par Cappone mais tout de même salvateur.
56 /
Quel coup franc de Ljuboja ! Sur une frappe de plus de 28 mètres, l'ancien Parisien enroule son ballon et trouve la lucarne de Cappone. Mais le remplaçant d'Audard se détend de tout son long et détourne le cuir du bout des gants. Lorient a eu chaud !
46 /
Les Lorientais donnent le coup d'envoi du second acte. Aucun changement n'est à signaler de part et d'autre.
36 /
BUT de Cesar contre son camp pour Lorient! Sur un coup franc tiré par Vahirua côté droit, le Tahitien enroule un ballon fuyant qui prend à défaut la défense grenobloise. Cesar trainait malencontreusement au rebond et marque finalement bien involontairement contre son camp.
34 /
Première occasion de la rencontre pour les visiteurs ! Sur un coup franc à 30 /
mètres frappé par Batlles, Cesar met la pression dans la surface et Akrour hérite finalement du cuir aux six mètres. L'Algérien a l'occasion de marquer mais dévisse totalement sa reprise qui sort même en touche...
1 /
Les Grenoblois donnent le coup d'envoi de cette 15e journée de Ligue 1.

MARSEILLE 0 / LENS 1


Le fil du match

90 +4 /
C'est terminé! Lens s'impose sur le fil grâce à ce but d'Eduardo inscrit à la dernière seconde. C'est un vrai coup dur pour l'OM qui méritait certainement mieux ce soir mais Lens y a cru jusqu'au bout et s'offre un bol d'air bienvenu par rapport à la zone rouge. Marseille stagne pour sa part à la 7e place du classement, sans être décroché par rapport au peloton de tête.
90 +3 /
BUT d'Eduardo pour Lens! Roudet s'élance et dépose le ballon sur la tête d'Eduardo aux six mètres, le Brésilien devance Hilton et décroise sa tête pour l'ouverture du score!
90 +2 /
Boukari passe entre deux joueurs sur la droite, il est déséquilibré par Abriel, c'est le coup franc de la dernière chance à venir pour le RC Lens!
90 +1 /
Eduardo est alerté à la limite du hors-jeu, il parvient à contrôler le ballon et cherche Roudet plein axe mais le ballon passe derrière le gaucher lensois.
90 /
Trois minutes de temps additionnel seront jouées

78 /
Quel loupé de Mamadou Niang! L'attaquant phocéen réalise un petit festival, il efface trois joueurs sur la gauche avant de rentrer dans la surface et se mettre en position de frappe, l'angle est ouvert mais son tir part loin dans le ciel artésien!
76 /
Lens a eu chaud! Brandao s'impose de la tête sur un centre venu de la gauche, sa déviation profite à Cheyrou qui s'est infiltré dans la surface et place le bout de son pied, mais Runje se déétend bien et capte le cuir.
62 /
Yohan Demont s'élance pour se faire justice lui-même, il tire à droite mais Mandanda se détend parfaitement sur sa gauche et repousse la frappe, derrière Cheyrou devance l'attaquant lensois pour dégager son camp!
61 /
Demont profite du renvoi de la défense dans l'axe pour s'infiltrer dans la surface et se faire déséquilibrer par Bocaly. Penlaty estime M. Ledentu!
50 /
La belle occasion marseillaise! Taiwo sert Niang sur la gauche, le Sénégalais entre dans la surface et se met en position de frappe d'un crochet, son tir du droit est repoussé par Runje, derrière Morientes ne peut placer sa tête.
46 /
C'est reparti! Aucun changement n'est encore à signaler alors que Lens engage.
45 +1
/ C'est la pause! M. Ledentu renvoie les 22 acteurs aux vestiaires sur ce score nul et vierge, 0-0. Lens a bien entamé la rencontre avant que Marseille ne reprenne le contrôle des opérations, mais tout reste à faire en seconde période.
3 /
Quel arrêt de Steve Mandanda! Le ballon est dans les pieds d'Akalé sur la gauche, il trouve un partenaire à l'entrée de la surface, le ballon traîne dans la zone décisive et parvient à Maoulida qui frappe en pivot, il faut un arrêt réflexe superbe de Mandanda, qui est bien sorti, pour préserver le score nul et vierge.
1 /
C'est parti! M. Ledentu a donné son premier coup de sifflet, Marseille engage.

Rugby: la Nouvelle-Zélande inflige une leçon de rugby au XV de France

Le XV de France, totalement dépassé, a reçu une magistrale leçon de rugby d'une équipe de Nouvelle-Zélande impériale, auteur de cinq essais à zéro (39-12), samedi à Marseille (sud) en clôture de la tournée automnale.


Après un succès d'estime (20-13) contre les champions du monde sud-africains et une copie plutôt soignée (43-5) contre de faibles Samoans, les Français se sont écroulés de tout leur poids sur la dernière marche néo-zélandaise.

Les All Blacks, tout de blanc vêtus, ont pris une éclatante revanche de la victoire française (27-22) de Dunedin du 13 juin et repartent invaincus de leur tournée en Europe.

L'entraîneur français Marc Lièvremont, qui s'était employé -lucide- à "dédramatiser" ce dernier test-match automnal, doit à présent préparer le Tournoi des six nations 2010. Sa marge de manoeuvre sera très étroite à deux ans de la Coupe du Monde.

Un monde les sépare. Les Français, puissants en mêlée, s'étaient accommodés du jeu stéréotypé des Sud-Africains. Contre la Nouvelle-Zélande, son jeu de ligne si bien réglé et la créativité de son ouvreur Dan Carter, ils n'ont rien pu faire.

Après l'ouverture du score sur une pénalité de Dupuy, les All Blacks enclenchaient la machine. Une première percée de Ma'a Nonu mettaient les Bleus au supplice, Carter sautait pour Sivivatu qui franchissait la ligne et l'ouvreur transformait (3-7, 9e).

Rebelote dès la deuxième percée: Muliania initiait une relance, Sivivatu échappait à la cuillère de Marty et fixait Médard pour retrouver son arrière. Et de trois sur une mêlée néo-zélandaise victorieuse conclue par Kieran Read.

Les Français devaient se contenter de miettes, soit deux nouvelles pénalités de Dupuy et un drop de Trinh-Duc peu avant la mi-temps. Anéantis par cette première période cauchemardesque, ils étalaient leur fébrilité dès la reprise en préférant tenter une pénalité après une belle percée de Marty relayée par Médard.
Peine perdue: Dupuy manquait la mire pour la première fois de la soirée.

Et le festival Carter continuait. L'ouvreur allumait une chandelle que Traille ne pouvait maîtriser, les Français se mettaient à la faute au sol et l'ex-Perpignanais donnait treize points d'avance à son équipe sur une nouvelle pénalité.

Entre temps, Dupuy, gêné par le vent, manquait une deuxième tentative sur une nouvelle faute de McCaw. Et Carter continuait son récital: coup de pieds dosés, chistera, et même un drop sur la barre !

Vingt secondes plus tard, Corry Jane récupérait le ballon sur l'aile droite et inscrivait le quatrième essai néo-zélandais sur un coup de pied par dessus. Et le centre Conrad Smith ajoutait une cinquième réalisation dans un embryon de bagarre générale, avant la transformation de Carter.

oui mais les blaks sont impressionnants

Le Stade Français conjure le sort


Après un an et demi de disette lorsqu'il évoluait au Stade de France, le Stade Français a mis fin à la malédiction en dominant l'Aviron Bayonnais (34-10) lors de la 15e journée du Top 14. Un succès bonifié important dans la course aux barrages. Dans le même temps, Perpignan est venu à bout de Montpellier (29-3) tandis que Bourgoin a vaincu Castres (16-9).


Julien Dupuy a inscrit le deuxième essai des siens (Maxppp).

STADE FRANÇAIS-BAYONNE: 34-10


La malédiction est levée. Le Stade Français a enfin réussi à s'imposer au Stade France, samedi, en dominant une bien pâle formation de l'Aviron Bayonnais (34-10).
Une victoire parisienne qui met fin à une série de cinq matches sans victoire sur la pelouse de l'écrin de Saint-Denis.
Un succès bonifié qui résonne également comme une grosse bouffée d'oxygène pour les hommes de Jacques Delmas qui vivaient des temps difficile au sein du Top 14. Sur les cinq dernières levées, les Stadistes ne s'étaient imposés qu'à une reprise.

C'est donc avec la ferme envie de dicter leur loi que les Franciliens ont entamé la rencontre.
Et les spectateurs du Stade de France n'ont pas tardé à s'en apercevoir. Car malgré l'ouverture du score de Pierre Bernard sur une pénalité (3-0, 8e), les Roses ne vont laisser aucune chance à leurs adversaires. Benjamin Kayser (12e) et Julien Dupuy (15e) vont tous les deux inscrire un essai coup sur coup pour creuser l'écart et déjà mettre à mal les rêves d'exploit basques (14-3).
Avant la pause, Pascal Papé trouvera également l'ouverture au terme d'une action superbement déroulée (29e). Lionel Beauxis enquillera deux pénalités avant le repos pour porter le score à 27-3.

La seconde période sera finalement bien terne. Sans doute la peur de perdre le point du bonus offensif côté parisien.
Car lorsque Sam Gerber parvient à sauver l'honneur des Basques en marquant un essai sur un coup de pied bien senti par Gower (27-10, 73e), la réponse des locaux ne se fait pas attendre avec une percée de Messina qui lance Gasnier sur le flanc droit pour un essai qui permet au Stade Français de récupérer le bonus offensif (34-10, 75e). Les Parisiens recollent ainsi au peloton de tête alors que l'Aviron voit la relégation se rapprocher à grands pas.

Stéphane SOULÉ et Olivier CORTINOVIS

Ligue 1 - 16e Journée

05/12/2009

Stade: Stade Nungesser |

Valenciennes 3 / Monaco 1

Bravo Valenciennes 3ème au classement !

L'OM satisfait son entraîneur

Didier Deschamps doit être satisfait. Alors qu'il avait demandé à ses troupes de ne plus perdre de points en route, le coach de l'Olympique de Marseille a vu ses troupes s'imposer à Nice (3-1), samedi soir, lors de la 16e journée de Ligue 1.

Marseille 3 / Nice 1

GRENOBLE ???

Grenoble, première !
La révolte des mal-classés ! Ce dimanche, à l'occasion de la seizième journée du championnat de France, Boulogne-sur-Mer a battu Lens (2-1), alors que Nancy s'est imposé sur la pelouse d'Auxerre (1-3). Surtout, Grenoble a remporté sa première victoire en Ligue 1 cette saison, face à Toulouse (1-0).


Grâce à Nicolas Dieuze, Grenoble a remporté sa première victoire de la saison en Ligue 1.

GRENOBLE-TOULOUSE: 1-0


Seize journées que tout Grenoble attend ça.
Ce dimanche, au Stade des Alpes, face à Toulouse, les Grenoblois signent leur première victoire de la saison en Ligue 1.
Ce succès, pour le moins mérité, se dessine à dix minutes du coup de sifflet final. Moment choisi par Nicolas Dieuze pour reprendre un coup franc de Danijel Ljuboja, initialement repoussé par Olivier Blondel (1-0, 80e).
Même si la situation comptable des locaux, encore à neuf points de l'ASSE, le premier non relégable, reste critique, l'espoir renaît sur les bords de l'Isère.
De son côté, le TFC semble pour le moment condamné à errer dans le ventre mou du classement.

Prochains matches: Sochaux-Grenoble ; Toulouse-Montpellier


QUAND MEME !!

Ronaldo, bourreau de l'OM

L'exploit était si loin, si proche. L'Olympique de Marseille n'a rien pu faire face au Real Madrid (1-3), ce mardi soir, dans le cadre de la dernière journée de la phase de poules de la Ligue des champions. Auteur d'un doublé, Cristiano Ronaldo a éteint le Stade Vélodrome.

Et un, et deux ! Cristiano Ronaldo a inscrit un doublé, mardi, face à l'OM. (Reuters) Cinquième minute de jeu, coup de froid sur le bouillant Stade Vélodrome. La violente tempête se nomme Cristiano Ronaldo.
Évidemment. Suite à une faute concédée par Édouard Cissé, le magicien portugais catapulte un somptueux coup franc dans la lucarne droite de Steve Mandanda, impuissant sur ce coup-là (0-1, 5e). A cet instant de la partie, la situation se complique pour l'Olympique de Marseille. Forcément. Inéluctablement. Mais la folie portée par le Mistral, parfois désordonnée, c'est vrai, ne quitte pas les rangs marseillais. Non, elle les gagne. Avec force et vigueur.

Surtout, elle voit le jour grâce à la vitesse de Taye Taiwo.
Côté gauche, le Nigérian laisse sur place Sergio Ramos puis centre à destination de Brandao. Le Brésilien, étrangement seul au second poteau, ajuste une tête repoussée par Raul Albiol sur Lucho Gonzalez.
L'ancien joueur de Porto reprend victorieusement au point de penalty (1-1, 11e). L'espoir renaît. Il n'est jamais mort, en fait. Dans le même temps, le FC Zürich ouvre la marque face à l'AC Milan, grâce à Milan Gajic. Merci les Suisses ! Merci le poteau, aussi, quand l'intenable Ronaldo reprend un corner du crâne (28e).

Place à l'Europa Ligue

Sauf que, dans le football plus qu'ailleurs, le vent peut rapidement tourner. Trop rapidement, même. A l'heure de jeu, Albiol redonne l'avantage au Real Madrid, en reprenant un coup de pied de coin frappé par le Néerlandais Rafael Van der Vaart (1-2, 60e). Comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, au stade du Letzigrund, Ronaldinho égalise sur penalty pour les Rossoneri. Pis pour les Phocéens, Lucho, lui, ne parvient pas à marquer un penalty offert par Iker Casillas, le portier des Merengues (69e).
Médusé sur son banc, Deschamps le sait, Marseille a laissé passer sa chance.

Et perdu son meilleur joueur, en la personne de Mamadou Niang, blessé à l'épaule. Pour couronner le tout, Cristiano Ronaldo ajoute un troisième et dernier but, lorsqu'il profite de la sortie manquée de Mandanda (1-3, 80e). Le Ballon d'Or 2008 n'est pas le meilleur buteur de la Ligue des champions pour rien (six réalisations). L'exploit des Olympiens n'est donc pas pour aujourd'hui, ni pour demain, d'ailleurs.
Mais demain, justement, est un autre jour, la Ligue Europa une autre compétition, un autre terrain de jeu que les coéquipiers de Benoît Cheyrou auront l'occasion de fouler.

bonjour a tous et a toutes, hier j'ai avançée pour mettre le forum sur le net j'attend une réponse pour continuer le travail qu'il y a a faire.
Sur ce je vous souhaite une bonne soirée,a tous.

Marseille fait le boulot


L'Olympique de Marseille n'a pas failli, samedi, lors de la 17e journée de Ligue 1, en disposant relativement facilement de Boulogne-sur-Mer (2-0). Un succès qui permet aux Phocéens de reprendre de la hauteur.

Gabriel Heinze a débloqué la situation au Vélodrome (Reuters).

MARSEILLE-BOULOGNE sur MER : 2-0


Attendus au tournant après la défaite contre le Real Madrid en Ligue des Champions (1-3), les Marseillais ont répondu présent lors de la réception de Boulogne-sur-Mer dans le cadre de la 17e journée de Ligue 1. Opposés à des Nordistes décidés à évoluer très bas, les hommes de Didier Deschamps ont su trouver et exploiter la faille pour glaner les trois points de la victoire (2-0).

Et les Phocéens n'ont pas tardé à prendre le contrôle de la rencontre se rendant rapidement maître du ballon et de la moitié de terrain adverse. Mais, comme d'habitude dans pareil cas, les visiteurs décident de bien se regrouper derrière, rendant la tâche forcément plus compliquée pour un OM en quête de rachat.
Les occasions se multiplient sur le but de Jean-François Bédénik mais les locaux restent désespérément stériles à l'image de Brandao (4e), Benoît Cheyrou (17e, 18e et 39e), Koné (19e) ou de Lucho Gonzalez (7e, 11e et 36e).

Le verrou boulonnais va pourtant finir par sauter en seconde période. D'abord sur un corner déposé par Cheyrou sur la tête de Gabriel Heinze au premier poteau (1-0, 48e). L'issue du match ne fait alors guère plus de doute et deviendra certaine lorsque Lucho provoque la faute de Damien Marcq dans la surface boulonnaise. Taye Taïwo se charge de transformer le penalty pour sceller la victoire des siens (2-0, 54e). L'OM se replace temporairement en deuxième position à trois longueurs de Bordeaux.

Le Mans repart sur de bonnes bases


LE MANS 2 / VALENCIENNES 1

Deux mois et demi après sa dernière victoire en L1, Le Mans a renoué avec le succès, samedi soir, lors de la 17e levée de championnat. Réduits à 10 avant le repos, les Sarthois ont néanmoins disposé de Valenciennes (2-1), grâce à un coup franc de Le Tallec inscrit dans le temps additionnel. Un sursaut opportun, alors que les Mucistes évoluaient sous les ordres d'Arnaud Cormier pour la première fois de la saison.


Grâce à Corchia et Le Tallec, Le Mans est venu à bout de VA en infériorité numérique. (Maxppp) Serrer les dents jusqu'à la trêve pour envisager des jours meilleurs en 2010.


Telle était en substance le message soufflé cette semaine dans les rangs du MUC72 par le président Legarda. "Nous savons que nous possédons une équipe jeune, qui souffre du manque de cadres, mais en attendant de faire quelque chose au mercato, il faut se serrer les coudes pour parvenir à des résultats lors des quatre derniers matches qu'il nous reste à disputer en 2009." Au vu du résultat et compte-tenu du fait que les Mucistes aient dû évoluer en infériorité numérique une mi-temps durant, ce samedi contre VA, ses ouailles en ont manifestement pris bonne note.

Privé de succès en Ligue 1 depuis le 27 septembre dernier, Le Mans a renoué avec la gagne au forceps, grâce un coup franc victorieux de Le Tallec décoché au bout du temps additionnel. Un premier but sarthois inscrit dans le dernier quart d'heure cette saison pour un dénouement rocambolesque, alors que l'expulsion de Maïga avant la pause semblait avoir condamné les locaux.

Et, au final, une juste récompense si l'on considère l'abnégation de cette équipe qui n'aura jamais véritablement courbé l'échine face à ce Valenciennes qui compte parmi les têtes d'affiche surprises du championnat et jouit de la meilleure attaque de l'élite.
A trois points de la lumière

"Je crois que la roue a tourné ce soir, confessait Le Tallec au micro de Foot + à l'issue de la rencontre. C'est un petit clin d'oeil pour le coach Duarte". L'intéressé, remplacé cette semaine sur le banc par Arnaud Cormier, appréciera l'hommage. Son suppléant, lui, appréciera tout simplement le résultat, d'autant qu'il s'agit là de sa toute première victoire avec le MUC72, après les deux nuls et deux revers obtenus en fin de saison passée, tandis qu'il assurait l'intérim après l'éviction de Daniel Jeandupeux.

Malgré une demi-heure d'une rare insipidité, les Manceaux, qui évoluaient clairement sur la défensive ce samedi soir, n'ont du reste pas démérité dans le jeu, à l'image de leur premier but inscrit par Corchia à la retombée d'une louche inspirée de Maïga (29e). Surtout, ils ne se sont pas laissés décontenancer par l'égalisation rapide de Danic, consécutive à un service sur mesure de Ben Khalfallah quatre minutes à peine après l'ouverture du score (33e). Encourageant, forcément, notamment au vu de l'opération comptable ainsi réalisée. Alors que la trêve se profile à l'horizon, Le Mans ne compte plus que trois longueurs de retard sur Saint-Etienne, premier non relégable du championnat.

Sochaux a souffert

Les hommes de Gillot devaient l'emporter ce dimanche face à Grenoble pour éviter de concéder une deuxième défaite consécutive et replonger dans le doute. Si la mission est réussie, ils ne se sont pas simplifiés la tâche.

La première mi-temps est celle des occasions manquées pour Grenoble. Matsui bute sur Richert (11e) avant que Ljuboja n'envoie un missile sur le poteau gauche du portier franc-comtois. Les Lionceaux se montrent en revanche plus adroits. Sur sa deuxième opportunité, Mikari reprend victorieusement de volée une louche de Dalmat (1-0, 28e). Sonnés, les Isérois obtiennent tout de même un penalty mais Richert arrête le tir de Ljuboja (42e).

Les coéquipiers de Bréchet maitrisent la deuxième mi-temps mais ne peuvent se mettre à l'abri. Martin et Perquis voient leurs tentatives terminer sur le poteau de Le Crom. Du coup, les hommes de Bazdarevic poussent dans les dernières minutes. Richert préserve le résultat en repoussant une demi-volée de Courtois comme il peut (92e).

Sochaux a désormais 10 points d'avance sur Le Mans (premier relégable) et passera les fêtes au chaud même si la manière n'était pas au rendez-vous. Grenoble renoue avec ses mauvaises habitudes puisque cette défaite met fin à une série de quatre matches sans revers.


GRENOBLE 0 / SOCHAUX 1

Valenciennes et Auxerre se figent


Valenciennes n'a pas réussi à venir à bout de l'AJ Auxerre (0-0), mardi soir, lors de la 11e journée de Ligue 1. Au terme d'un match insipide et marqué par un froid polaire, les Nordistes se seront montrés les plus dangereux sans pour autant trouver la faille.

Hengbart et Audel n'ont pas réussi à se départager à l'image de leurs équipes (Maxppp). Il y avait pourtant une troisième place promise au vainqueur du soir.
Mais ni Valenciennes, ni Auxerre n'ont su trouver la faille dans l'excellente organisation adverse, ce qui a donné ce résultat logique (0-0) entre deux des bonnes surprises de la saison en Ligue 1, respectivement (et peut-être provisoirement) 5e et 6e après la rencontre. Si la première période a été plus que terne, Audel et les Valenciennois ont tenté d'emballer une rencontre disputée sur une pelouse gelée mais praticable après le repos, mais ils n'ont pu effacer la déception de la défaite au Mans samedi dernier (défaite 2-1). "Il y avait un faux-rythme en première période, résumera Ben Khalfallah au micro de Canal +. On a deux, trois occasions en seconde période, mais on ne les met pas au fond. C'est dommage, on n'avance pas trop au classement, mais ça va revenir."

En face, Auxerre a confirmé que les sept victoires consécutives étaient bel et bien passées. Battue à Paris (1-0) puis face à Nancy (1-3), et heureuse de décrocher un nul à Lorient (0-0) la semaine dernière, l'équipe de Jean Fernandez a encore livré un match très pauvre offensivement dans le froid de Nungesser. Pourtant, les deux équipes, fidèles à leurs habitudes, démarrent la rencontre avec des intentions de jeu.
Suite à une déviation de Pujol à une touche de balle, Audel adresse un centre de la gauche, qui passe dans le dos de Ben Khalfallah (3e). Une première amorce d'occasion, qui sera bien la seule d'une première demi-heure bien terne, achevée sans la moindre frappe dangereuse de part et d'autres.
Les Valenciennois ont pourtant l'emprise du jeu, face à des Auxerrois bien repliés, mais qui ne franchissent plus la ligne médiane. "Les conditions sont difficiles et on perd le ballon trop vite", concède alors Jean Fernandez, l'entraineur auxerrois, au micro de Canal +.

Audel se réchauffe

Il faut attendre une tentative de Pujol, du gauche, déviée en corner par Mignot, pour voir le premier véritable tir de la rencontre (33e).
Un peu plus tard, le même Pujol est servi dans la surface par Audel. L'ancien Nantais tente un contrôle orienté puis parvient à armer, mais Mignot est encore sur le chemin de sa tentative (37e). Côté icaunais, c'est Capoue qui se crée la meilleure occasion. Il profite d'un raté de Ducourtioux pour frapper en angle fermé, mais se heurte à Ndy Assembe (41e). C'est bien peu pour une première période extrêmement ennuyeuse.

Heureusement, Audel réveille le match et surtout VA dès le retour des vestiaires. L'attaquant nordiste récupère un ballon sur la gauche, et décoche un tir puissant qui frôle la lucarne de Sorin (46e). L'ancien Lillois centre ensuite sur la tête de Pujol, qui trouve Sorin au premier poteau (47e). Puis, Cohade imite ses partenaires, mais son tir s'envole dans les tribunes, légèrement déviée par le portier bourguignon (48e). Enfin, Sanchez manque complètement sa tête, alors que le service de Ben Khalfallah sur coup franc est idéal. (51e).
Face à des Valenciennois qui commencent à prendre confiance, les Auxerrois opèrent en contre-attaque. Mais, idéalement décalé par Niculae, Pedretti met trop de temps avant de frapper, et Ducourtioux peut revenir (54e).

Malgré tout, cette occasion ne masque pas les difficultés des Auxerrois, trop passifs à l'image d'Oliech et Jelen transparents, et bien bousculés par la vitesse des Pujol, Audel et Ben Khalfallah.
Mais en dépit d'un grand nombre de centres et de ballons dans la surface icaunaise, VA peine à mettre vraiment en danger Sorin. Tout juste entré en jeu, Samassa offre un bon ballon à Audel, mais le meilleur Valenciennois mardi soir croise un petit peu trop sa frappe (77e).
Pas assez efficaces devant, les Nordistes ont bien failli tout perdre quand Bisevac accroche le maillot de Contout dans la surface de réparation, sans que M.Fautrel ne siffle le penalty (81e), avant de croire à la victoire sur une volée de Ben Khalfallah, qui part dans les nuages (89e). Une dernière occasion bien à l'image de cette rencontre décevante. Mais la météo a fait des siennes...

FAUT - IL AIMER LE FOOT POUR ALLER SE GELER !!

A une marche du bonheur


On n'arrête plus l'équipe de France féminine de handball, qui six ans après son titre de championne du monde en 2003, tentera de décrocher une nouvelle médaille d'or dimanche.

Les filles d'Olivier Krumbholz se sont en effet qualifiées pour la finale, se débarrassant aisément de l'Espagne en demies (27-23).
A Raphaëlle Tervel et ses partenaires de franchir le dernier obstacle russe, tombeur de la Norvège (28-20) un peu plus tard dans la journée.

Capitaine des Bleues, Raphaëlle Tervel peut rêver d'un deuxième titre mondial. (Maxppp) Imaginez... La France, déjà championne olympique grâce aux garçons, double championne du monde en titre !
Ce rêve un peu fou n'est plus impossible. On savait les hommes de Claude Onesta capables de décrocher le titre mondial en début d'année, même dans la fournaise croate, et ces derniers ont confirmé leur réputation.
Les chances des filles d'Olivier Krumbholz étaient plus minces, pour ne pas dire nulles, surtout après une entame de compétition catastrophique en Chine. Mais cette équipe de France a ce je-ne-sais-quoi de magique, cette folie en elle, qui lui permet de survivre à l'impossible.
Miraculées face à la Suède, convalescentes contre le Congo et l'Allemagne, intraitables contre l'Angola, la Russie et l'Autriche, les Bleues se sont montrées irrésistibles vendredi contre l'Espagne pour se hisser en finale de la compétition.

On présentait cette équipe espagnole comme dure au mal, capable de forcer la défense tricolore, point fort de Signate et de ses coéquipières.
Elle n'aura tenu la comparaison qu'une grosse dizaine de minutes avant que la France, sur une contre-attaque de Pineau, auteur de quatre buts, ne crée un premier écart (13e, 6-4). Après 20 minutes de jeu, l'Espagne n'a pris que cinq tirs dans cette rencontre et pointe à quatre longueurs des Bleues qui maîtrisent leur sujet tant offensivement que défensivement (20e, 8-4). Et si Leynaud n'est pas dans son meilleur jour et peine à enrayer la légère décompression de ses partenaires, la France vire à la pause avec un léger break (12-10).

Une génération est née

Cette sérénité française ne sera jamais prise à défaut.
Même après huit minutes de jeu dans la seconde période quand l'équipe tricolore se retrouvera en double infériorité numérique pendant quelques secondes. Les Bleues se reposeront alors sur Tervel, leur capitaine et seule joueuse membre de la campagne victorieuse en 2003, pour marquer à quatre dans le champ pour maintenir l'écart (39e, 17-15). Le début de la fin pour les Espagnoles, dépassées par Signate et Ayglon, meilleures marqueuses tricolores avec chacune cinq buts à leur compteur.

L'écart ne cessera alors de grandir : +3, +4, +5, +6 et jusqu'à +7 dans les dix dernières minutes de la rencontre (52e, 24-17), malgré l'activité de Mangue, auteur de neuf réalisations, mais trop esseulée dans la défense française. Signe de sa maturité naissante, l'équipe de France ne s'offrira même pas le luxe de douter dans les toutes dernières minutes tout aussi bien maîtrisées en dépit d'une ultime poussée espagnole.
Le score est sans appel (27-23) et la joie française sans fard, les larmes de soulagement et d'exaltation accompagnant ce succès vers la finale.
Dix ans après la bande des Valérie Nicolas, Isabelle Wendling et Véronique Pecqueux, finaliste en Norvège en 1999 et pionnière de l'éveil du handball féminin en France, une autre génération est née. Une équipe, toujours cornaquée par Olivier Krumbholz, qui mettrait bien quant à elle la main sur l'or...

COCORICO

VALENCIENNES 0 / LENS 0


Valenciennes continue sa série de bons résultats a domicile.

En fin de seconde période, Lens aurait pu perdre ses 29 ans d'invincibilité sur l'unique occasion franche de VA, sans l'intervention décisive de Demont sur sa ligne.


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19-12-2009

GRENOBLE 1 / NICE 1

Une nouvelle fois peu efficaces, les Grenoblois ne peuvent faire mieux que partager les points avec l'OGC Nice.

Le début de match était marqué par une grosse intensité, certainement due à la température polaire qui sévissait sur le Stade des Alpes.
Pas de temps mort donc et surtout des Grenoblois qui possédaient bien plus souvent le ballon. Pour autant les grosses occasions se faisaient rares. Les trois attaquants, Ljuboja, Boya et Rémy étaient incessamment servis en profondeur ou par des ballons en l’air. De fait même si la qualité de leurs contrôles leur permettait de conserver le ballon, peu de partenaires étaient en mesure de les aider.
Il fallait donc attendre la 18e minute de jeu pour voir les occasions arriver. Ljuboja se signalait deux fois sans qu’Ospina ne soit battu (18e, 20e). Les Niçois répondaient timidement par Mounier ou Ben Saada, sans que Le Crom ne soit inquiété (23e, 27e, 38e). Passée la demi-heure de jeu, les Grenoblois se procuraient enfin ’de bonnes occasions. Mais souvent les ballons brûlants qui fuyaient dans la surface des Aiglons ne profitaient pas aux Grenoblois qui manquaient clairement d’opportunisme. Ainsi ni Matsui, ni Boya ou Dieuze ne parvenaient à donner l’avantage aux locaux avant la pause (34e, 37e, 40e).

Dieuze, encore lui

Au retour des vestiaires, le Gym se montrait rapidement dangereux par des contres bien placés. Rémy faisait admirer sa pointe de vitesse sur le coté droit mais ne pouvait tromper la vigilance de Le Crom, avant de venir buter sur le montant gauche de ce dernier sur une copie conforme de la première action (45e, 53e).
Grenoblois laissaient passer l’orage pour repartir encore plus fort. Ljuboja, Courtois et Boya tergiversaient chacun leur tour dans la surface adverse, mais la récompense de ces efforts finissaient par payer. A la suite d’une ouverture de Ljuboja, Ravet dribblait sur son coté et centrait pour Dieuze, complètement oublié par l’arrière garde niçoise.
Ce dernier inscrivait là son troisième but sous les couleurs bleues et blanches et délivrait le Stade des Alpes, comme face à Toulouse. Mais les visiteurs réagissaient mieux que les Violets il y a quinze jours et grâce à un Mounier très inspiré, Ben Saada égalisait d’un lob tout aussi astucieux sur Le Crom (83e). Les deux équipes se créaient ensuite une occasion de remporter les trois points mais ni Mounier ni Batlles ne marquaient (88e, 89e).
Le match se terminait sur ce score de 1-1 et les Grenoblois pouvaient regretter leur manque de lucidité offensive, encore une fois.

Lucas Hybord






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Handball:

les Françaises cèdent en finale face aux Russes

Par Reuters, publié le 20/12/2009 à 13:26 - mis à jour le 20/12/2009 à 13:57

PARIS - La Russie a remporté le titre de championne du monde de handball féminin pour la troisième fois consécutive en battant dimanche la France 25-22 en finale à Nankin.

Les Françaises ont été battues 25-22 par les Russes en finale du championnat du monde de handball à Nankin.
Malgré la défaite, la France, qui repart de Chine avec l'argent, confirme le haut niveau international du handball français. (Reuters/Aly Song)

La Norvège, championne olympique à Pékin, a pris la médaille de bronze en battant l'Espagne 31-26.


Malgré sa défaite en finale, l'équipe de France, déjà finaliste en 1999 et championne du monde en 2003, a confirmé le haut niveau international du handball français après les sacres de l'équipe masculine aux JO 2008 et au championnat du monde 2009.

"On est très heureux de ce résultat et de la capacité des filles à se révolter alors qu'elles étaient quasiment mortes" (ndlr: après avoir perdu leurs deux premiers matches de poule contre le Brésil et le Danemark), a déclaré Olivier Krumbholz, entraîneur de l'équipe de France.

"On n'est pas si loin des Russes. Nous avons fait un bon match en matière d'engagement et de courage, il manque peut-être un peu d'expérience chez certaines jeunes joueuses", a-t-il ajouté sur Sport-Plus.

Battues 24-23 en match de poule, les Russes ont marqué le premier but de la rencontre mais les Françaises sont rapidement entrées dans le match et menaient de deux buts 4-2 après cinq minutes et 6-4 à la 10e grâce notamment à un trois sur trois d'Allison Pineau.

DMITRIEVA AU SOMMET

Les Russes ont recollé à 6-6. Sous l'impulsion d'Elena Dmitrieva, elles menaient 8-6 au quart d'heure de jeu, ont pris trois buts d'avance 10-7 à la 18e minute, puis ont porté l'écart à quatre points 14-10.

La mi-temps est intervenue sur le score de 14-11 pour la Russie. Il était de 14-12, également en faveur des doubles championnes du monde, le 13 décembre, et les Françaises pouvaient encore croire en la victoire.

Malgré Elena Dmitrieva qui affichait un 7/7 cinq minutes après la reprise, les Françaises sont peu à peu revenues à un but (15-16) grâce notamment à Allison Pineau.

Les deux équipes se sont neutralisées pendant cinq minutes mais malgré Cléopâtre Darleux, gardienne de 20 ans, qui avait remplacé Amandine Leynaud à la mi-temps, les Russes gardaient deux buts d'avance 19-17 à la moitié de la seconde mi-temps.

Paule Baudouin a écopé de deux minutes de suspension et les Russes ont creusé à nouveau l'écart, 22-17 à 12 minutes de la fin.

C'est le moment que l'entraîneur Olivier Krumbholz a choisi pour demander à ses joueuses d'adopter la défense 2-4 qui leur a permis de battre l'Espagne, vice-championne du monde en demi-finale.

Les Russes ne sont pas tombées dans le piège et ont gardé la maîtrise du match. Elles menaient toujours de quatre buts, 24-20, à cinq minutes de la fin.
Les derniers efforts de Mariama Sigmate et Allison Pineau, les deux meilleures marqueuses françaises qui ont été élues dans l'équipe du Mondial, et l'exclusion pour deux minutes de Dimitrieva n'ont pas changé le sort du match.

Jean-Paul Couret


BRAVO LES FRANCAISES

Samedi 9 janvier - 20h45 -

Match annulé.

En raisons des conditions météorologiques, le match GF38 - Montpellier est ajourné.

Samedi 9 janvier 2010 Coup d'envoi: 20:45

1/32 finale Stade Léon-Bollée
Le Mans / Valenciennes

Compte à rebours: Aujourd'hui - 20:45

Le Tallec qualifie Le Mans contre Valenciennes (AFP) Dimanche 10 janvier 2010

Le Mans a confirmé son regain de forme en disposant samedi (1-0) de Valenciennes, autre pensionnaire de L1, grâce à un but d'Anthony Le Tallec, en 32e de finale de la Coupe de France.

Le but inscrit en première période par l'attaquant sarthois aura suffi à offrir la qualification au MUC72, qui a ensuite préservé son avantage face à des Valenciennois entreprenants.

La première rencontre de l'année 2010 à Léon-Bollée aura été l'occasion d'assister aux premiers pas encourageants de l'international suisse Almen Abdi, principale recrue mancelle du mercato hivernal.

C'est lui qui a délivré une passe millimétrée, sur coup franc, pour la tête de Le Tallec (1-0, 23e). Et son entente avec l'ancien attaquant de Liverpool promet beaucoup, notamment dans l'optique de la Coupe de la Ligue dès mardi et la réception très attendue de Bordeaux.

Le Tallec, lui, a confirmé ses bonnes dispositions de la fin 2009 en se montrant très présent et percutant en pointe.

Valenciennes aurait sans doute pu espérer mieux, au vu notamment d'une seconde période plus intéressante. A l'heure de jeu, Danic trouvait la barre, mais le Manceau Goulon également.

Dans une fin de rencontre serrée, l'entraîneur du Mans Arnaud Cormier préférait jouer la sécurité en renforçant son secteur défensif. Geder remplaçait ainsi Abdi, ménagé.

En face, son homologue Philippe Montanier tentait l'inverse en incorporant un attaquant (Pujol) au lieu d'un milieu (Sanchez).

Les Manceaux pêchaient par manque de justesse et de lucidité dans les contres mais conservaient finalement la victoire, malgré un dernier essai, non cadré de Danic (80).

Trelissac • Marseille

Football - Coupe de France

dimanche 10 janvier 2010 • 17:30

Trélissac «aime jouer»

Didier Deschamps sait que Trélissac - Marseille sera forcément un piège sur la pelouse de l'équipe de CFA2. Et n'a évidemment rien laissé au hasard.

Fabrice Abriel et Didier Deschamps ont préparé leur 32e de finale de Coupe en pensant à tout. (EQ)

«Aberrant», peut-être, comme le dit Antoine Kombouaré, le programme des 32es de finale de la Coupe de France verra les deux clubs les plus passionnels de France entrer en lice en dernier, l'un après l'autre, dimanche soir.

Avant Paris-SG - Aubervilliers (20h45), Marseille se remettra dans le bain à Trélissac, équipe de CFA2, contre laquelle son droit à l'erreur sera réduit (17h30). «J'espère que le terrain sera praticable et que les conditions ne seront pas trop difficiles, car si ce n'était pas le cas, il y aura forcément un nivellement des valeurs, témoigne Didier Deschamps.
Dans ce genre de rencontres et disputées dans ces conditions, il y a toujours des surprises. Ce que je crains c'est d'avoir le bonnet d'âne.»

Marseille peut avoir raison de se méfier. Sorti par Carquefou (0-1) en huitième de finale en 2008, le club phocéen avait eu besoin des tirs au but pour sortir Besançon au même stade (et dans les mêmes conditions météo), il y a un an (1-1, 5-4). L'entraîneur de l'OM, pour limiter les incertitudes, a étudié avec attention le jeu de Trelissac et son début de saison. «C'est une équipe qui aime jouer, sait-il. Qui a eu du mal en début de saison à cause de nombreuses blessures mais qui reste sur cinq victoires consécutives et qui mise sur du jeu en mouvement et de la vitesse devant le but.»

Il exclut clairement de prendre ce tour à la légère pour préparer la L1 et le choc à Bordeaux : «Je ne peux pas choisir de compétition prioritaire. On doit faire face à nos ambitions et rester compétiteurs en toutes circonstances.» Message reçu par les joueurs qui restent sur un non-match contre Auxerre (0-2). «Sur leur terrain, on part à 50/50, assure Fabrice Abriel.

Le maître mot, c'est d'imposer un rythme pour fatiguer l'adversaire et permettre à nos individualités de faire la différence. Mais il faut savoir que c'est leur Ligue des champions à eux et que leur motivation sera supérieure à la nôtre.» - Avec H. F. (à Marseille)

Deschamps : "Se qualifier était la seule chose à faire"

10/01/10 - Trélissac 0-2 OM

L’Olympique de Marseille a su sortir victorieux de son premier match de Coupe de France à Périgueux face à Trélissac. «C’est bien de reprendre la seconde moitié de saison par une victoire et une qualification» affirme le technicien marseillais.

Sans être en danger, Marseille a assuré l’essentiel à savoir la qualification…

Lors du premier tour quand on rencontre des équipes de division inférieure, il n’y a qu’une chose à faire, c’est se qualifier et rentrer à la maison. On a relativement bien maîtrisé le match, Steve Mandanda n’a pratiquement pas eu un arrêt à faire. C’état un match de reprise après avoir effectué un gros travail en stage, c’est bien de reprendre la seconde moitié de saison par une victoire et une qualification.

Trélissac a tenté de réagir en début de seconde période…
On a eu un peu de mal à se remettre dedans à l’entame de la seconde période mais Trélissac n’a pas eu d’occasion. On ne peut pas tout maîtriser.
On a fait un gros travail athlétique, il est donc normal que les joueurs n’aient pas la même intensité sur le plan physique. C’était la reprise et c’est bien de gagner.

La pelouse était finalement praticable…

Toutes les personnes de la ville et les bénévoles ont fait un bon travail. De toutes façons, nous étions venus pour jouer. Certains clubs professionnels ont fait des déplacements pour rien puisque, une ou deux heures avant le coup d’envoi, on leur annonçait que le match était reporté. On s’était préparés à jouer ce match. Pour le public, les téléspectateurs et pour nous, c’est toujours mieux d’avoir un terrain qui n’est pas gelé et sur lequel on peut jouer au football.

Un but de Hatem Ben Arfa et une passe décisive de Mathieu Valbuena. Deux joueurs dont la presse parle beaucoup…
Ils sont là, sous contrat, je compte sur eux. Là, ils ont eu du temps de jeu, à eux d’en profiter. On a mis deux buts, je regarde l’expression collective. Sur le banc de touche, j’avais quatre ou cinq joueurs du CFA 2 mais lundi je devrais récupérer deux ou trois éléments supplémentaires.

Garry Bocaly a reçu un coup. Est-ce grave ?

Il a reçu un coup sur le tibia. Comme il s’est arrêté quelques minutes, il ne pouvait pas repartir. Il y a un hématome. Ce n’est pas très méchant mais comme je n’ai pas beaucoup de latéraux, j’espère qu’il pourra vite récupérer.

Mercredi, c’est encore un match de coupe, également dans une région de grand froid…

Pour le froid, c’est sûr qu’il fera froid. Il paraît qu’il va à nouveau neiger. On se prépare à y aller et l’essentiel est de ne pas y aller pour rien.
Le match ASSE-Lorient a été reporté la veille, cela a permis de ne pas faire déplacer les équipes. J’espère que l’on saura mardi si le match aura lieu ou pas.

L'OM renverse la vapeur 13/01/2010 -


Au terme d'une rencontre haute en couleur, l'Olympique de Marseille a arraché sa qualification pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue en venant à bout, mercredi à Geoffroy-Guichard, de l'AS Saint-Etienne dans les arrêts de jeu grâce à un but du revenant Mamadou Niang (3-2).
Un retour en grâce qui fait du bien à l'équipe phocéenne.

Saint-Etienne est maudit. Après avoir mené deux fois au score, les Verts ont dû s'incliner face à l'OM dans le temps additionnel (3-2), quittant ainsi dès les huitièmes de finale une Coupe de la Ligue qui aurait pu leur apporter un peu d'oxygène au cours d'une deuxième partie de saison qui s'annonce d'ores et déjà suffocante.
L'homme de la déception stéphanoise s'appelle Brandao.
Double buteur ce mercredi soir à Geoffroy-Guichard, l'attaquant brésilien, critiqué ces derniers temps pour sa légèreté dans la finition, a offert le but de la victoire à Niang.

Une délivrance pour les Marseillais. "Ça aurait pu apprécier d'un côté comme de l'autre, a réagi Didier Deschamps au micro de France Télévisions.
On a été mené, mais on est bien revenu. Saint-Etienne nous a créé quelques problèmes, ça a été un match assez ouvert, un peu trop à mon goût de notre côté. Mais je ne vais pas faire la fine bouche."
Car le Chaudron, qui n'avait plus vu le moindre but de Saint-Etienne depuis le 3 octobre et un succès contre Bordeaux (3-1), a d'abord bouilli, malgré le froid, quand Sako a mis un terme à ces trois mois de disette offensive.
L'international espoir français a profité d'un bon travail côté gauche de Payet avant de glisser le ballon entre les jambes d'Andrade (1-0, 18e).

Mais Geoffroy-Guichard a vite déchanté.

L'OM a compris que la défense stéphanoise, qui a enregistré il y a peu l'arrivée de Diakhité, n'était pas complètement rodée. Etrangement seul au deuxième poteau, sur un énième centre d'Abriel, Brandao en a donc profité pour égaliser en deux temps devant Coulibaly (1-1, 29e).
Vainqueurs de Trélissac le week-end dernier en 32e de finale de la Coupe de France, les Olympiens ont alors cru avoir fait le plus dur contre une formation fragilisée par une fin d'année 2009 mouvementée et qui disputait là son premier match officiel en 2010.
C'était sans compter sur la patte de Payet, dont le coup franc à trente mètres de la cage phocéen a trouvé le crâne de Bergessio (2-1, 30e).

Niang: "Maintenant, on peut se concentrer sur Bordeaux"

Un réalisme qui, en plus, s'est ajoutée à une certaine réussite, l'arbitre de la rencontre M. Jaffredo oubliant une main évidente d'Andreu dans la surface qui aurait dû coûter un penalty aux Verts (41e), heureux de regagner les vestiaires avec l'avantage. Avantage de courte durée, malheureusement pour eux.
Car les hommes de Didier Deschamps sont entrés dans la deuxième période avec autant d'entrain qu'ils avaient terminé la première. Le résultat ne s'est pas fait attendre. Après une belle occasion de Lucho (57e), Brandao y est allé de son doublé en jouant les déménageurs devant Benalouane et Coulibaly, aux pâquerettes sur le coup (2-2, 59e).

"On a tout fait pour égaliser, a commenté Niang après coup. Absent depuis un mois et sa blessure à l'épaule face au Real Madrid, le buteur sénégalais a ensuite endossé le costume de sauveur en trompant Coulibaly d'une frappe croisée, sur un bon service de Brandao (3-2, 90e+4). "On a fait un bon match, a-t-il ajouté.
La qualif' est là, c'est le plus important. Maintenant, on peut se concentrer sur Bordeaux." Un rendez-vous à ne pas manquer pour les Phocéens qui, en cas de victoire face aux Girondins le week-end prochain, pourrait remonter sur le podium.
Et entretenir leur bonne résolution.