le forum bleu !

Disparition: le corps de Myriam Caseiro retrouvé dans le Rhin

Le corps retrouvé jeudi dans un bras du Rhin est bien celui de Myriam Caseiro, la lycéenne de 18 ans qui avait disparu le 8 novembre à Strasbourg, a confirmé son père Fernando Caseiro samedi.

Le corps sans vie d'une jeune femme a été retrouvé dans l'un des bras du Rhin, près de Strasbourg jeudi après-midi, selon Les Dernières Nouvelles d'Alsace, samedi.

Selon le journal, il pourrait s'agir du corps de Myriam Caseiro, une jeune fille âgée de 18 ans qui a disparu à Strasbourg depuis le 8 novembre.
Les Dernières Nouvelles d'Alsace précisent que le corps a été retrouvé côté allemand jeudi à la hauteur de Gambsheim, à une quinzaine de kilomètres en aval de Strasbourg.

La police et le parquet n'ont pas souhaité confirmer cette information mais le procureur de la République devait tenir une conférence de presse cet après-midi à 15h00.

Myriam Caseiro a disparu le dimanche 8 novembre au soir. Après avoir passé la journée avec son petit ami qui l'avait raccompagnée chez ses parents dans le quartier du Neudorf à Strasbourg, elle était ressortie peu après, vers 23h00, sans emporter ni téléphone portable, ni moyens de paiement.

Un témoin a affirmé l'avoir alors vue en conversation avec un homme qui ne s'est pas présenté malgré l'appel à témoins diffusé dans la presse locale. Une information judiciaire pour "enlèvement et séquestration" a été ouverte il y a une quinzaine de jours.

La photo de la jeune fille avait été largement diffusée en France et en Allemagne. Outre une enquête de voisinage, les policiers avaient également eu recours à des chiens pisteurs et des cours d'eau avaient été sondés, sans résultats.

QUEL DRAME UNE PENSEE POUR ELLE

ET TOUJOURS RIEN POUR TYPHAINE ??

STRASBOURG (AFP) - 28/11/09 15:40

Mort Myriam Caseiro: pas de traces de violences, probablement un suicide

La mort de Myriam Caseiro, dont le corps a été retrouvé dans le Rhin jeudi, est probablement due à un suicide, a indiqué samedi le procureur de la République de Strasbourg Jacques Louvel, qui a précisé qu'aucune trace de violence n'avait été relevée.

Les Suisses votent à plus de 57% l'interdiction des minarets

Les Suisses ont décidé dimanche par référendum à plus de 57% des votants d'interdire la construction de minarets, selon les résultats définitifs du scrutin.

Seuls quatre cantons sur les 26 que compte la Confédération ont rejeté la proposition soutenue par le parti UDC de la droite populiste et le petit parti chrétien de droite UDF.

Ce vote va entraîner la modification de l'article 72 de la Constitution suisse qui régit les relations entre l'Etat et les religions. L'interdiction de la construction de minarets y sera présentée comme une mesure "propre à maintenir la paix entre les membres des diverses communautés religieuses".

Les commentateurs ont unanimement qualifié ce résultat d'"immense surprise" car il contredit les sondages qui prédisaient durant la campagne un rejet à 53% de la proposition de la droite populiste.

L'UDC, qui ne manque jamais une occasion d'attiser la peur de l'étranger, a donc convaincu une majorité écrasante de Suisses en accusant les minarets d'être le "symbole apparent d'une revendication politico-religieuse du pouvoir, qui remet en cause les droits fondamentaux".

L'intellectuel musulman controversé Tariq Ramadan a jugé "catastrophique" le résultat du référendum. Pour M. Ramadan, qui vit à Genève et enseigne à l'Université britannique d'Oxford, "les Suisses ont exprimé une vraie peur, un questionnement profond sur la question de l'islam en Suisse".

Le parti des Verts a déclaré envisager de présenter un recours devant la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg pour violation de la liberté religieuse garantie par la Convention européenne des droits de l'homme.

NO COMMENT'S

30 novembre 2009 CHEZ NOS VOISINS

Minarets interdits en Suisse: la presse helvétique déplore un vote "inspiré par la peur"


"Coup de massue", "consternation et désespoir": le refus des minarets "sonne la Suisse" et la presse du pays s'inquiète lundi d"un "vote lourd de "conséquences", au lendemain de l'interdiction de la construction des minarets votée par 57,5% des votants, "inspirés par la peur".

"Les Suisses ont voté avec leurs tripes (...) inspiré(s) par la peur, les fantasmes et l'ignorance", déplore le quotidien genevois Le Temps qui s'inquiète d'un "dégât d'image spectaculaire pour la Suisse" dans le monde.

"Exportations, tourisme, industrie du luxe, finance, les secteurs qui craignent d?avoir perdu de leur aura si précieuse ne sont pas les moindres de nos pourvoyeurs de richesses", relève le quotidien 24 Heures (Lausanne) pour lequel, si "la Suisse a un problème d'image, l'islam aussi".

Pour La Liberté (Fribourg), les "craintes liées à l'islamisation du pays et à un brassage de populations qui va trop vite", ont pesé lourd dans le scrutin.

Le Journal du Jura" déplore un "autogoal de la peur" en dénonçant l'amalgame entretenu par la campage de la droite populiste entre la population musulmane de Suisse et le "fondamentalisme religieux agitant le monde".


Cet affront à l'islam pourrait coûter cher. Certains, polytraumatisés de la crise, ont glissé dans l?urne un vote de protestation et de méfiance plus que de haine et de défiance. Il en est ressorti une bombe", s'alarme La Tribune de Genève.

"Au moment où tant d'autres défis sont à relever, de la crise économique au conflit avec la Libye en passant par la disparition du secret bancaire, espérons que (le) prix ne sera pas exorbitant", commente La Liberté.

Le quotidien zurichois Tagesanzeiger relève quant à lui que ce vote a profondément divisé le pays, entre une partie "moderne et internationaliste" et une autre plus "traditionnelle et nationaliste". Le vote "va renforcer l'isolement international de la Suisse même auprès des pays occidentaux", prédit le journal.

"Les suites immédiates de la votation sont limitées. Les minarets existants ne sont pas menacés (et) de nouveaux n'étaient pas attendus en masse", tempère la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) qui déplore cependant que "le climat (se soit) nettement refroidi pour les musulmans".

MAIS POURQUOI INSISTER SUR LE " MOT " PEUR ?? UN VOTE EST ORGANISE , LES SUISSES VOTENT , EN LEUR AME ET CONSCIENCE , ON PEUT SUPPOSER

Typhaine: la mère reconnaît la mort de l'enfant, son concubin interpellé, selon une source policière

La mère de la petite Typhaine, placée en garde à vue lundi dans le cadre de l'enquête sur la disparition de sa fillette de cinq ans en juin à Maubeuge (Nord), a reconnu la mort de l'enfant et son concubin a été interpellé, a-t-on appris mardi de source proche de l'enquête.


"L'enquête s'accélère. Nous avons interpellé le concubin et nous en sommes au stade de la recherche du corps" de l'enfant, a précisé cette source.
Le lieu des recherches n'a pas été indiqué mais la Belgique "n'est pas exclue", a-t-elle souligné.

Les explications de la mère, Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, et de son concubin, Nicolas Willot, 24 ans, autour des circonstances et des causes de la mort de l'enfant sont "contradictoires", selon cette source.

Le couple était toujours entendu mardi matin dans les locaux de la police judiciaire de Lille.

Selon sa mère, Typhaine a disparu subitement dans l'après-midi du 18 juin alors qu'elle l'accompagnait dans le centre de Maubeuge.

Mais le contexte familial troublé, les conditions de la disparition et l'absence de témoignages susceptibles d'accréditer la thèse de l'enlèvement par un tiers ont rapidement intrigué les enquêteurs et alimenté leurs doutes sur l'entourage de la fillette.



QUELLE HORREUR , PAUVRE PETIT ANGE , NOUS PLEURONS EN PENSANT A TOI

AUCUNES CIRCONSTANCES ATTENUANTES AUCUNES , POUR CES MONSTRES

Disparition de Typhaine: la mère et son concubin avouent que l'enfant est morte
Les policiers recherchaient activement mardi le corps de la petite Typhaine, cinq ans, qui avait mystérieusement disparu en juin, après des aveux de la mère et de son concubin reconnaissant sa mort, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Jusqu'à présent, le couple avait toujours défendu le scénario d'un enlèvement par un inconnu le 18 juin dans les rues de Maubeuge. Les enquêteurs étudient désormais deux pistes. "On est en train de travailler pour savoir si on est sur une piste d'accident domestique ou si on est sur une affaire criminelle", a indiqué un responsable proche du dossier.

Placée en garde à vue lundi pour la deuxième fois dans le cadre de l'enquête de la police judiciaire de Lille démarrée il y a cinq mois, la mère de Typhaine, Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, a fini par avouer la mort de sa fille. Dans la nuit, son compagnon, Nicolas Willot, 24 ans, a été à son tour placé en garde à vue. Il est passé aux aveux lui aussi.

La mère de la petite Typhaine placée en garde à vue pour la deuxième fois
"La mère et le concubin ont donné deux versions différentes: une version +soft+ et une version +hard+", a indiqué à l'AFP une source proche du dossier. Elle a souligné que la découverte du corps devrait conforter les aveux de l'un ou de l'autre. Mais, une chose semble acquise: "ils sont impliqués tous les deux dans le processus de la mort".
En fin de matinée, les enquêteurs n'avaient toujours pas retrouvé le corps de la fillette, recherché dans la zone frontalière, du côté belge. "Un seul membre du couple connaît l'endroit où se trouve le corps et sa mémoire flanche un peu", a-t-on souligné.

La mère de Typhaine devait être déférée dans l'après-midi au parquet de Valenciennes, alors que le concubin était toujours en garde en vue en fin de matinée.

Selon sa mère, Typhaine aurait disparu subitement, dans l'après-midi du 18 juin alors qu'elle l'accompagnait dans le centre de Maubeuge. Aucun témoignage n'a appuyé cette version.

La piste familiale avait retenu dès le début l'attention des enquêteurs. Les parents de Typhaine, qui n'étaient pas mariés, se sont séparés en décembre 2005, sur fond de dispute, se partageant la garde de la fillette et de sa soeur, Caroline, un an plus âgée.

Anne-Sophie Faucheur avait obtenu la garde de Caroline et son ancien compagnon, François Taton, celle de Typhaine.

Mais le 22 janvier dernier, la maman récupère la benjamine à la sortie de l'école - à Lille où réside le papa - en trompant les enseignants.

Depuis, la mère vivait avec ses deux filles à Aulnoye-Aymeries (Nord), à 15 km de Maubeuge, avec son nouveau compagnon rencontré dans le fast-food où ils travaillaient tous deux.

Un élément a intrigué par dessus tout les enquêteurs : le samedi 13 juin, soit cinq jours avant l'alerte de la disparition, Anne-Sophie Faucheur et Nicolas Willot fêtaient le baptême de leur troisième fille, Apolline, issue de leur union, avec des membres de leur famille. Mais aucun n'avait aperçu Typhaine.

Mme Faucheur et son concubin avaient été placés en garde à vue dès le lendemain de la disparition, mais relâchés quelques heures plus tard sans qu'aucune charge ne soit retenue contre eux. Leur domicile avait été perquisitionné à deux reprises.

Quelques jours après la disparition, la mère avait organisé une conférence de presse avec son concubin à Aulnoye-Aymeries. "Typhaine nous manque (...), le moral est à zéro", avait-elle déclaré, évoquant un enlèvement. "Elle va être retrouvée", avait-elle affirmé.

QUE L'ON RETROUVE SON PETIT CORPS AFIN DE LUI DONNER UNE SEPULTURE DECENTE



Mais la personne de LA SECURITE SOCIALE qui a raconté que TYPHAINE était avec
sa mère ce jour là ?? ???????
Je ne voudrais pas être à sa place !!!!

superbe tes images oizobleu , bon je viens pour vous signaler que j'ai mis la chatbox et qu'elle est en route bien sur pour voir les messages de la tchatbox il faut être connecté sinon rien des messages ne s'affichent !! donc voilà ! pour la tchatbox !!bonne soirée a tous !

C'est une fleur blanche , mais qui est ressortie de la couleur du forum et,
un ange pour TYPHAINE , que personne n'oublie ainsi que tous les autres enfants

Typhaine: le concubin de la mère mis en examen pour "coups mortels"


Le concubin de la mère de Typhaine, la fillette annoncée disparue en juin mais qui serait morte à son domicile, a été mis en examen mercredi et incarcéré pour "coups mortels", a indiqué le parquet de Valenciennes.

Nicolas Willot, 24 ans, a confirmé mercredi durant son audition au parquet que Typhaine était décédée le 10 juin "à l'issue d'une douche froide" et qu'il s'agissait d'une "punition", a indiqué le parquet à l'AFP.

Selon une source proche de l'enquête, le jeune homme a confirmé durant sa garde à vue à la PJ de Lille "les nombreux sévices sur Typhaine" de sa part et de la part de sa compagne.

"C'est un contexte de maltraitances, c'est clair", a indiqué le parquet.

La mère de Typhaine, Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, avait été mise en examen mardi pour "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineure de 15 ans", après avoir reconnu avoir menti sur l'enlèvement de sa fillette le 18 juin par un inconnu dans les rues de Maubeuge (Nord).

oui je l'ai vue aux infos la jeune femme n'avait pas du tout l'air d'un assassin comme quoi il faut se méfier même des frêles gens qui ont l'air tout beaux tout innocents!!.l'apparence est trompeuse!!

Mort de Typhaine: les parents évoquent "une punition" qui tourne mal

Après avoir reconnu que Typhaine, cinq ans, n'avait pas été enlevée mais était morte chez eux, la mère et son concubin, mis en examen pour coups mortels, ont avoué mercredi que la fillette avait succombé "sous une douche froide", lors d'une "punition" qui a mal tourné.

Lors de leur garde à vue mardi, Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, et Nicolas Willot, 24 ans, avaient livré aux enquêteurs des scénarios divergents sur la mort de Typhaine, le soir du 10 juin à leur domicile d'Aulnoye-Aymeries (Nord), à une quinzaine de kilomètres de Maubeuge.

Entre-temps, la jeune femme a rejoint le récit de son compagnon, lors d'une audition avec un juge d'instruction. Elle a confirmé "des violences" répétées sur l'enfant ainsi que la mort de la fillette sous une douche froide destinée à la punir, selon une source proche de l'enquête.

La maman a placé Typhaine sous une douche froide de manière violente, parce qu'elle avait uriné dans son lit, a expliqué le concubin, qui n'est pas le père naturel de l'enfant.

L'avocat d'Anne-Sophie Faucheur, Maître Emmanuel Riglaire, a aussi évoqué "une punition qui va trop loin". "Ce jour là Typhaine aurait été tellement pas sage (...) qu'ils la mettent sous la douche froide et la laissent. Quand ils reviennent, elle ne va pas bien, elle suffoque. Nicolas Willot, qui est pompier volontaire, lui fait un massage cardiaque, mais trop fort, en vain", a-t-il expliqué.

Nicolas Willot, qui est allé plus loin que sa compagne dans ses aveux, a cependant "fait état de sévices assez réguliers de sa part et de la part de la mère sur Typhaine", qu'il a présentée comme "la souffre-douleur de la famille".

Comme sa compagne la veille, M. Willot a été mis en examen et incarcéré mercredi pour "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineure de 15 ans et dénonciation de délit et crime imaginaire".

Il a reconnu avoir enterré lui-même le corps de la petite fille, le soir même du drame dans une zone de campagne en Belgique, probablement dans les environs de Mons.

Des investigations sont actuellement menées par les autorités belges sur commission rogatoire internationale, selon le parquet. "On fait des repérages pour restreindre le périmètre de recherches, en fonction des indications du concubin", a-t-on précisé.

Le parquet de Valenciennes, qui supervise l'enquête, espère qu'une autopsie permettra d'y voir plus clair sur la nature des maltraitances.

L'émotion était vive mercredi à Aulnoye-Aymeries (Nord), où des voisins ont déposé des roses blanches et des peluches devant le domicile du couple.




TYPHAINE

faut être complètement inconscient de laisser un enfant sous une douche froide!
même pour punir ce ne sont pas des choses a faire !!!

Typhaine. Le corps serait resté cinq ou six jours au domicile familial4


Le corps de la petite Typhaine, décédée des suites d'une punition de sa mère qui aurait mal tourné, serait resté cinq ou six jours au domicile familial avant d'être enterré. Le corps n'a pas encore été retrouvé.

Sa fille morte, elle participe tout de même à la préparation d'un baptême

Anne-Sophie Faucheur, la mère de 23 ans, et son concubin Nicolas Willot, ont avoué que le décès de Typhaine était du à une punition qui est allé trop loin, dans la nuit du 10 au 11 juin. Ce même 11 juin, Anne-Sophie Faucheur a assisté à une réunion de préparation à un baptême. "La jeune femme est arrivée en retard, seule. Elle s'est excusée, prétextant qu'une de ses enfants était malade", se souvient le diacre.

Le baptême a été célébré le 13 juin, et le diacre affirme n'avoir "rien remarqué de particulier


Les recherches dans des bois frontaliers commenceront la semaine prochaine

La coopération entre autorités belge et française, nécessaire à la localisation du corps, progresse, relate lavoixdunord.fr. Des magistrats du parquet fédéral de Bruxelles et du parquet de Mons se sont rendus à Valenciennes hier, ce qui accréditerait la prévision de recherches dans un bois frontalier. Les recherches n'interviendront pas avant la semaine prochaine, et le concubin Nicolas Willot devrait participer aux repérages.

Grenoble: un adolescent mort par pendaison, plusieurs pistes envisagées
Le 04/12/2009 à 19:59

L'autopsie d'un garçon de 13 ans découvert pendu jeudi près de Grenoble n'a pas permis de préciser les circonstances de son décès, les enquêteurs envisageant un suicide ou un "jeu du foulard" ayant mal tourné, a-t-on appris vendredi auprès du parquet.

L'autopsie pratiquée vendredi a conclu à la mort par pendaison, au lendemain de la découverte de l'adolescent inanimé par ses parents, à leur domicile d'Eybens (Isère). Transporté au Centre hospitalier universitaire de Grenoble, il y était décédé.

Le "jeu du foulard", évoquée par les parents auprès des enquêteurs, "est une hypothèse comme une autre, mais pas la plus probable. Il n'a pas non plus laissé de lettre", a déclaré à l'AFP le procureur de la République, Jean Philippe.

"L'enfant était seul dans sa chambre, il nous est donc difficile d'établir les circonstances de sa mort", a-t-il poursuivi.

Les parents avaient expliqué que leur fils s'était intéressé au "jeu du foulard", qui consiste à bloquer sa respiration jusqu'à l'évanouissement, lors d'une émission de télévision consacré à ce sujet il y a plusieurs jours, a ajouté le procureur.

UNE PENSEE POUR CE JEUNE GARCON , ET CONDOLEANCES A LA FAMILLE

Marche silencieuse pour Typhaine à Maubeuge(AFP) – Il y a 3 heures

MAUBEUGE — Une "marche blanche" en hommage à la petite Typhaine a réuni environ 200 personnes, samedi après-midi à Maubeuge (Nord), ville où la disparition de l'enfant avait été signalée par sa mère.

Les participants à la marche ont descendu une rue de la ville pour arriver sur le pont de Sambre, lieu où avaient débuté les recherches de la petite fille en juin dernier, et où a eu lieu un dépôt de gerbe de roses blanches, au pied d'un sapin de Noël qui devait être illuminé.

"C'est notre manière de signaler notre refus de la maltraitance des enfants et notre soutien à la famille de Typhaine", a expliqué à l'AFP Guillaume Lesourd, 31 ans, l'un des organisateurs de la marche dont l'idée a été lancée sur le réseau social sur internet Facebook.

Le rassemblement a duré une quarantaine de minutes et s'est passé dans le respect et dans le calme, sans prise de parole.

Quelques manifestants portaient des tee-shirts à l'effigie de Typhaine avec la mention "Stop à la maltraitance".

La famille de Typhaine n'était pas présente lors de cette marche mais pourrait en organiser une autre à Mons-en-Baroeul (Nord), lorsque le corps de l'enfant aura été retrouvé.

Des recherches doivent être entreprises la semaine prochaine en présence du concubin de la mère de Typhaine pour localiser la dépouille de la petite fille qu'il a avoué avoir enterrée en Belgique, probablement dans les environs de Mons.

Après avoir reconnu que Typhaine, cinq ans, n'avait pas été enlevée mais était morte chez eux le soir du 10 juin à leur domicile d'Aulnoye-Aymeries (Nord), la mère de la fillette et son concubin ont été mis en examen cette semaine pour coups mortels.

Ils ont avoué que la fillette avait succombé "sous une douche froide", une "punition", selon eux, qui aurait mal tourné.




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Pour TYPHAINE et, tous les enfants

Une étoile dans la nuit

Affaire Grégory: un mélange de 3 ADN retrouvé sur la lettre du corbeau

Un mélange de trois ADN a été retrouvé sur une enveloppe de revendication de l?assassinat du petit Grégory en 1984, a affirmé lundi l'avocat des parents Villemin, mais selon le procureur chargé de ce volet de l'affaire les traces sont "difficilement exploitables".


Les traces génétiques, dont l?une féminine, ont été retrouvées sur le rabat intérieur de la lettre adressée aux parents et postée le 16 octobre 1984, jour de l?enlèvement et de l?assassinat de Grégory, 4 ans, découvert pieds et poings liés dans la Vologne, à Docelles (Vosges), a annoncé à l?AFP Me Thierry Moser.

Pour l'avocat des parents, qui confirmait ainsi une information parue lundi dans le quotidien Vosges Matin, il s'agit d'une "avancée importante" dans l'enquête sur cette affaire non élucidée depuis 25 ans, car selon lui "des comparaisons ADN sont possibles".

Les profils génétiques retrouvés pourraient en effet être "démêlés" - séparés de manière à obtenir les ADN de chaque individu concerné - par comparaison avec d?autres empreintes, par exemple celles retrouvées sur les autres pièces à conviction.

En "soustrayant" les profils ADN dits "parasites", ceux des magistrats, greffiers ou enquêteurs qui auraient été en contact avec les scellés, on pourrait ainsi espérer obtenir un seul profil ADN déterminant. On sait déjà que l'ADN des parents ne correspond pas aux traces trouvées sur les scellés. Leur avocat précise en outre que de l'ADN a également été retrouvé sur deux courriers du corbeau, datant du printemps 1983.

Le procureur général de Dijon, Jean-Marie Beney, a confirmé de son côté l'existence de "traces de mélange complexe d'ADN" sur l'une des quatre enveloppes récemment soumises à expertises, en l'occurrence celle de la lettre du 16 octobre 1984.

Cependant ces résultats "ne proviennent pas de nouvelles expertises, mais bien de celles effectuées par le laboratoire Biomnis", dont les résultats figurent dans un rapport déjà présenté à la presse le 22 octobre dernier. Toutefois, ce point précis "n'avait pas été divulgué aux journalistes" dans la mesure où ces traces sont qualifiées de "limite et difficilement exploitables" par les experts, a fait valoir M. Beney.

Jusqu?alors, le procureur général de la cour d?appel de Dijon, où le dossier a été rouvert en décembre 2008, s'était borné à évoquer la découverte d?empreintes ADN sur une lettre anonyme de juillet 1985 et de traces ADN sur deux cordelettes ayant servi à entraver le corps de l?enfant.

Or, d?une part, les traces découvertes sur les cordelettes, de même que celles retrouvées sur les courriers de 1983, permettent uniquement d?exclure des profils, mais pas de confondre un individu.

D?autre part, les empreintes retrouvées sur le courrier du corbeau de juillet 1985 (neuf mois après l'assassinat de Grégory) permettent une identification par comparaison, mais la pièce est jugée moins probante.

"La lettre du corbeau dont on est sûr qu'elle émane de l'assassin ou de son complice est du 16 octobre 1984. La lettre du corbeau qu'on vous a vendue en pâture est du 24 juillet 1985, dont on ne sait même pas si elle émane de la même personne", estimait ainsi début novembre Me Gérard Welzer, l?avocat de Marie-Ange Laroche, veuve de Bernard Laroche, lequel fut un temps soupçonné du crime.

Celui-ci, placé en détention provisoire puis remis en liberté en février 1985, tout en restant inculpé d?assassinat, avait été abattu par son cousin, le père de l?enfant, le 29 mars 1985.

Par ailleurs, la chambre de l?instruction de la cour d?appel de Dijon examinera mercredi la demande de constitution de partie civile de Marie-Ange Laroche, formulée début novembre. Une démarche à laquelle s'opposent Christine et Jean-Marie Villemin.




POUR TOUS CES PETITS ANGES

Disparition de Typhaine: des restes humains retrouvés en Belgique

L'affaire Typhaine, cette petite Française de 5 ans morte le 10 juin dernier chez elle à la suite d'une punition ayant mal tourné selon sa mère, semblait proche du dénouement mercredi après la découverte de restes humains là où elle aurait été enterrée en Belgique.


Ces restes, qu'il faut encore identifier, ont été retrouvés dans un lieu boisé, à Marcinelle, près de Charleroi (sud de la Belgique), à l'emplacement désigné par le beau-père de Typhaine, a annoncé mercredi soir la justice belge.

"J'ai été informé à 18H00 que l'on avait retrouvé des restes humains à l'endroit indiqué par l'inculpé", a déclaré le procureur de Charleroi Christian De Valkeneer.

"A ce stade, il est bien entendu trop tôt pour confirmer de manière absolue qu'il s'agit du corps de l'enfant", a-t-il cependant souligné, en annonçant qu'il faudrait attendre les constats du médecin légiste et de la police scientifique, présents sur place.

S'il se confirmait que le corps est bien celui de la fillette, cette découverte serait l'épilogue de ce qui a toutes les apparences d'une affaire de violences parentales.


Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, la mère de Typhaine, et Nicolas Willot, 24 ans, ont reconnu le 1er décembre que la fillette de 5 ans n'avait pas été enlevée à Maubeuge comme ils l'avaient d'abord affirmé le 18 juin, mais qu'elle était morte chez eux le soir du 10 juin à leur domicile d'Aulnoye-Aymeries (nord de la France).

Ayant avoué aux enquêteurs français que la fillette avait succombé "sous une douche froide" à une "punition", qui aurait mal tourné, ils ont tous les deux été mis en examen cette semaine pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Selon le récit du beau-père, la fillette, ayant uriné dans son lit, aurait été placée sous la douche d'une manière violente par sa mère.

Nicolas Willot, qui est pompier volontaire, aurait fait ensuite un massage cardiaque à Typhaine pour tenter de la ranimer, "mais trop fort, en vain", selon un avocat.

L'homme a admis qu'il avait enterré lui-même le corps de la fillette deux jours plus tard dans une zone de campagne de l'autre côté de la frontière en Belgique. Mais il s'était d'abord dit incapable de situer l'endroit sur une carte, avant d'être conduit ce mercredi en territoire belge.

Les recherches avaient débuté mercredi matin dans la région de Mons (sud de la Belgique), plus à l'ouest.

Finalement, "le corps a été découvert dans des fourrés, un endroit difficilement accessible" du bois de Loverval, dans la commune de Marcinelle, surplombant Charleroi. Des policiers avec des chiens pisteurs avaient repéré cet endroit sur la base des indications de Nicolas Willot, a indiqué à l'AFP un policier belge.

Pour la suite, un médecin légiste doit encore "intervenir et poursuivre les fouilles, pour pouvoir rassembler tous les éléments utiles qui permettront d'identifier avec certitude s'il s'agit du corps de l'enfant", avant qu'une autopsie soit pratiquée en Belgique, selon le procureur belge.

Sur place, un cordon de police empêchait la presse de s'approcher mercredi soir.



UN ANGE PARMI LES ANGES

Le bois de Marcinelle où le corps de Typhaine a été retrouvé par les enquêteurs./ E. DELPIERRE / 20 MINUTES

C'est à l'institut médico-légal de Charleroi que repose provisoirement le corps de Typhaine, 5 ans, exhumé mercredi dans un petit-bois à Marcinelle (Belgique). « Nous attendons énormément de cette autopsie pour établir les conditions de vie et la fin de l'existence de cette enfant martyre », a expliqué, hier, Vincent Lesclous, procureur de la République à Valenciennes.

La mère de Typhaine et son compagnon, arrêtés en début de semaine dernière, ont été mis en examen pour « coups mortels » après avoir avoué la mort de la fillette survenue le 10 juin dernier.

Nicolas Willot, le beau-père, a mené mercredi les enquêteurs là où il avait enterré la fillette, sans vêtement ni linge ni cercueil, à quelques dizaines de centimètres de profondeur. « Une sépulture de fortune pour cacher, non pour rendre hommage », a commenté le procureur, qui précise que la mère et son compagnon avaient auparavant gardé le corps dans leur cave « pendant plusieurs jours ». Inhumé dans une terre argileuse, il serait bien conservé.

Son examen par radios, scanners et prélèvements pourrait permettre de faire la lumière sur les sévices réguliers dont s'est tout récemment accusé, devant un juge d'instruction, Nicolas Willot, et dont il accuse la mère de Typhaine. Les résultats de l'autopsie ne seront pas connus avant la semaine prochaine, et seront suivis « de nombreuses auditions », a précisé le procureur. Par la voix de son avocat, Raphaël Théry, la famille paternelle se disait, hier, soulagée de pouvoir « récupérer le corps et organiser des funérailles ». Elle organisera une marche blanche à Mons-en-Baroeul le 19 décembre. W

Olivier Aballain



UN PETIT COIN DE CIEL BLEU RIEN QUE POUR TOI

Après une opération d'une hernie discale , on ne prend pas l'avion, pour aller si loin !! des précautions sont à prendre , surtout ne pas s'sseoir !!!!
tout doit se faire très doucement !! c'est d'une imprudence folle !!

je le sais , suis passée par là !! opérée d'urgence une deuxième fois avec d'atroces douleurs !!!!! , suis restée 18 mois inactive !!!!!!!!! horrible !!

Le cadavre d'un bébé retrouvé dans la lingerie d'une maison

Le 11/12/2009 à 20:49

Le corps d'un bébé en état de décomposition a été découvert à Ecrouves (Meurthe-et-Moselle) vendredi après-midi dans la lingerie d'une maison, a-t-on appris de source judiciaire.

"Le père de famille a découvert le cadavre dans un linge", a indiqué à l'AFP un substitut du parquet de Nancy.

La police, qui s'est rendue sur place dans l'après-midi, a interpellé la mère de famille puis l'a placée en garde à vue.

Il y a deux ans, le corps d'un bébé avait été retrouvé dans un congélateur de cette même famille, mais l'affaire avait été classée sans suite, a précisé le substitut.

Le couple a par ailleurs trois enfants.

Le parquet était dans l'impossibilité vendredi soir de donner d'autres informations sur cette affaire, à ce stade de l'enquête.


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